Avant qu'elle ne parte rejoindre son copain Adama, une tante donne des conseils à une nièce Nina. Elle lui explique qu'elle ne doit pas se laisser influencer par les garçons qui veulent faire l'amour avec elle et que c'est à elle de décider quand le moment viendra. En restant ferme, elle distinguera ainsi les vrais amoureux de vrais coureurs.
Un paysan souhaite faire l'amour à sa femme, mais celle-ci lui demande d'abord de trouver des préservatifs. L'homme part à la boutique mais, hélas, il y a rupture de stock. Il reprend son vélo et part au marché où il finit par les trouver. De retour chez lui sa femme lui annonce qu'elle en avait mais qu'elle l'avait envoyé afin de savoir à quel point il tenait à elle.
Keïta is a retelling of the first third of Sundjata Keita's 13th-century epic, Sundjata. It tells of Mabo Keïta (Dicko), a thirteen-year-old boy who lives in a middle-class family in Ouagadougou and attends a good school. One day he encounters Djeliba Kouyate (Kouyaté), an elderly griot, who wants to tell the young Keïta the origin of his name, being related to Sundata (Boro). Kouyate begins his story with the Mandeng creation myth: As all living beings come together in the newly formed Earth, one man proclaims to the masses that he wants to be their king. They respond, "We do not hate you." The old griot goes on to tell how Keita's family are descended from buffalo, the blackbirds are always watching him, and how people have roots that are deep in the earth. The film shows realistic-looking flashbacks to ancient times and ends with Sundjata Keita being exiled from the Kingdom of Mande, to which he lays claim.
Dans un village, un guerrier s'apprête à partir au combat ; son adversaire : le Sida. Il a entendu dire que le Sida menace son pays et, tel un Don Quichotte, décide de partir en ville afin de le trouver et le vaincre. Mais l'ennemi, qu'il croit de chair, reste invisible. C'est finalement une prostituée qui va lui expliquer ce qu'est le Sida et comment s'en protéger.
Adama et Kady veulent faire l'amour. Mais avant, Kady exige d'Adama qu'il aille acheter des préservatifs. Le jeune homme part à la boutique mais là-bas il n'est pas seul, un vieil homme est là aussi. Honteux, Adama demande un paquet de gâteaux, puis un autre, puis un autre, puis un autre en espérant que le vieil homme s'en aille. Finalement un couple arrive et demande des préservatifs au vendeur. L'atmosphère se détend et le vieil homme, qui lui aussi était venu pour ça, demande des préservatifs. Décomplexé, Adama demande alors une boîte. Au retour, riant de sa bêtise, il croise Kady qui s'en va, lasse d'avoir trop attendu. Adama sourit, il a les préservatifs, demain ils pourront faire l'amour.
Karim a 12 ans. Il vit avec sa mère, Aïsha, et son oncle, Issa. Car suite à la mystérieuse disparition de son mari, Aïsha a dû se remarier avec cet oncle de Karim, qui est un véritable tyran. Le jeune garçon travaille aux champs et vend des poulets et des calebasses sur les marchés. La vie s’écoule ainsi au quotidien jusqu’au jour où Sala se rend au village de Karim pour y passer les vacances. Sala est une jeune fille de 12 ans qui vit en ville dans un milieu aisé. Malgré leurs différences, malgré leur âge, les deux enfants apprennent à s’aimer.
The story takes place in Burkina Faso. Poverty grows with each year that passes at Gourga, a village on the borders of the Sahel. The inhabitants must choose: either wait for international assistance to arrive or travel to a richer area of the country. Salam, a peasant, and his family opt for the second solution despite the sacrifices that this entails. They begin a new life and they rediscover what hunger had made them forget: love, joy, hate and violence.
Il n'y a pas d'histoire dans Ouagadougou, Ouaga deux roues mais un protagoniste: le "deux-roues" sous toutes ses formes. Le film le met en scène dans son quotidien le plus divers: la circulation, les embouteillages, les pannes, les accidents, ses multiples façons de l'utiliser. Le "deux-roues" ouagalais s'expose, se fait entendre à peine couvert par la musique d'Augé kaboré et finalement s'impose comme le maître des rues Ouagalaises.
Issa is a traditional weaver in Burkina Faso who loves his trade. However, so as not to lose his clientele and keep on making enough to keep his wife, Issa finds himself forced to sell Western clothes. He buys a mask, ready-to-wear clothing and… makes a fortune. Shot in 1984, a year after Thomas Sankara’s rise to power, the film perfectly illustrates the Chief of State’s motto: “Let’s use products from Burkina Faso!” A political and philosophical tale intended to warn his fellow-citizens.
This short film takes place in northern Burkina Faso, in a Mossi village. There, two old men patiently and skillfully make traditional wooden bowls for everyday use. Meanwhile, the young people leave the village to go to the city and abandon these tricky crafts.
The movie starts out with a village leader coming into the house of a crying mother. He says to give up hope that your husband is still alive. Resisting from the comments, the mother decides to run away with her child.
Dans un village, Koudougou et Poko, un jeune couple, attendent la naissance de leur premier enfant. Malheureusement la grossesse ne se passe pas bien pour Poko. L'accoucheuse du village l'ausculte mais ne peut rien pour elle. Le conseil du village se réunit et il est décidé d'emmener Poko en ville pour la soigner. Koudougou et quelques villageois partent en emmenant Poko sur une charrette. Malheureusement le voyage est trop long pour la jeune femme qui décède en route. Effondré, Koudougou lui ferme les yeux, la charrette fait demi-tour et le groupe repart au village où chacun retourne à ses occupations. La vie continue.