Moi, Robert « Bob » jette un regard intimiste sur un homme confronté à la dureté de la vie politique. Vue unique et privilégiée du monde fermé des machines électorales, ce documentaire, en forme de portrait, se veut une réflexion sur l’image que projettent les politiciens d'aujourd'hui.
À travers une rencontre intimiste supportée de séquences vidéo et d'images d'archives, le document nous présente le rôle marquant de ce chevalier de l'indépendance dans l'évolution du mouvement indépendantiste au Québec des années 1960.
L’actrice et réalisatrice Paule Baillargeon retourne au pays de son enfance : l'Abitibi. Sur la route de Montréal à Val-d'Or, des instants qui ont marqué son existence resurgissent dans sa mémoire. À travers cet autoportrait hybride, Baillargeon raconte le parcours d’une femme, d'une féministe, d'une mère, d'une artiste.
Un grand documentaire sur le Québec et un éditorial cinématographique virulent à l’occasion du référendum de mai 1980 sur la souveraineté-association. Couvrant les événements, le cinéaste sort la défaite référendaire du Parti québécois de son contexte local et la confronte au jugement de l'Histoire, en la soumettant au feu d'une critique acerbe sous la forme de citations extraites de l'œuvre de Nicolas Machiavel (magnifiquement interprété par Jean-Pierre Ronfard).
It chronicles the immediate aftermath of the fall, in 1990, of the Meech Lake Accord, and its effects on the Quebec society and Quebec nationalism. It is set during the Bélanger-Campeau commission (a public hearing to determine the way to choose for Quebec regarding its autonomy), before the Parti Libéral du Québec (in power, traditionally in favor of autonomy within Canada and co-instigator of the Accord with the Progressive Conservative Party of Canada) formally closed the door to independence in the light of the death of Meech Lake and the departure of some Liberal nationalists to create the ADQ. The title means The Black Sheep, referring to Quebec and its difference coupled with a perceived ostracism by Canada, notably through its rejection of the Accord that would have recognized this difference.
It analyzes the place of Quebec Premier Adélard Godbout in history. Godbout is not well-considered by Quebec historians and citizens. Adérald Godbout was the Second World War–era Quebec head of government, and the great-uncle of the director. Godbout advances some theories to explain why his great-uncle was forgotten in the collective memory of the Quebecers. One theory is that Adélard Godbout was more favourable than other political leaders to conscription. Quebec nationalists, at the time, opposed conscription, which they saw as a British imperialist manoeuvre of English Canada to defend the Empire.
Octobre, 1995. Les souverainistes québécois sont au seil de leur pays et le Canada tout entier est sous le choc. Le pays que dirige Jean Chrétien est sur le bord d'éclater. Les derniers sondages placent le oui en avance pour la première fois. Il y a à peine un mois, c'était un scénario presque impensable. Ceux qui ont connu cette page d'histoire ne l'oublieront jamais
Chers électeurs documente le quotidien de deux députés du parlement québécois. Pendant près de quatre années, de 2003 à 2006, le réalisateur Manuel Foglia a suivi le député Daniel Turp, député péquiste de Mercier, et Charlotte L'Écuyer, députée libérale de Pontiac, qui ont tous deux été élus au pallier provincial pour la première fois en 2003. Turp ayant été député pour le Bloc québécois de 1997 à 2000 .
Ce film traite, de façon large, de la question nationale en l’abordant par différents biais et en la situant comme une question planétaire. Quels sont les ressorts affectifs dans l’humain de se dire appartenir à un pays ? Même décriée par certains comme une question sentimentaliste dépassée, celle-ci n’en demeure pas moins liée à une réalité humaine incontournable. Plusieurs nations questionnent leur identité nationale, les Québécois francophones dans le Canada, les Autochtones du Québec, les Bretons en France.
L'Illusion tranquille cherche à mettre en perspective les causes réelles et profondes des malaises sociaux et économiques du Québec : culture des acquis, monopoles d'État et syndicaux, discours idéologique qui masque des intérêts corporatistes. Il remet en cause et critique sévèrement les fondations du temple québécois :