Court métrage expérimental explorant les possibilités de l'animation par intermittence et des images spasmodiques. Norman McLaren joue avec les lois de la persistance rétinienne dans une œuvre de pure imagination faisant penser tantôt à un feu d'artifice très nourri, puis ensuite à un dessin lent à se former et dont on ne perçoit que des touches rapides et éphémères. Film sans paroles.
Charles Mingus narrates pieces of his own story. Born from a half black/half Swedish father and a half black/half Chinese mother (later having a half black/half Indian step-mother) Mingus tried to be all types of races but found he was a misfit that didn't belong anywhere; so he says he's just a negro. He sums this up stating, "In a society which sends messages that are racists capitalists, and have Judaeo-Christian ethic roots, the transmission of these messages to Black people can lead to socializing of their young with non-complementary values."
The film begins with a scene showing Duke Ellington struggling to get bookings for his band. His finances are so tight that he can't make payments on his piano and apartment. Two men arrive to take possession of Duke's piano.
Deux harmonies communales se retrouvent ex-æquo pour représenter la Belgique à la grande finale européenne : l'une est flamande, l'autre wallonne. Mais au cours de la compétition, le trompettiste flamand décède juste après sa prestation, alors que Hugues, le Wallon, brille particulièrement. Elke, administratrice et fille du chef d'orchestre flamand, décide de le débaucher. Le frère de Hugues, chef d'orchestre de la formation wallonne, refuse la partition écrite par son frère pour la finale. Frustré, Hugues passe dans le camp adverse où son charme fait des ravages, au point de séduire Elke, pourtant en instance de mariage avec Renaat le fils du sponsor de l'orchestre. Hugues propose sa partition à son nouvel orchestre, qui n'y montre aucun enthousiasme.