Le sous-marin nucléaire lanceur d'engins russe K-141 Koursk (Курск en russe) appartenait à la classe Projet 949A "Antei" ("Oscar II" pour l'OTAN). Ce navire récent (il avait été lancé en décembre 1994) et très performant illustrait la résurrection des forces navales russes après les années de déliquescence qui ont suivi la fin du régime soviétique. Le 12 août 2000, le Koursk fait naufrage en mer de Barents alors qu'il participe à d'importantes manœuvres de la Flotte du Nord. Lors de ces manœuvres, deux explosions successives sont en effet enregistrées mais personne n'en identifie l'origine, personne ne sait encore que cela provient d'un sous-marin et que tout l'avant du Koursk (de l'étrave au massif) a été entièrement ravagé alors qu'il était en plongée. Le Koursk a coulé aussitôt et repose désormais par 90 mètres de fond seulement (le sous-marin mesure 154 mètres de long). À bord, 23 marins réfugiés à l'arrière du sous-marin se débattent pour survivre. Les graves avaries subies par le bâtiment ne leur permettent pas de communiquer avec la surface ni d'émettre le moindre signal de détresse, si ce n'est des coups de marteau sur la coque. À terre, les familles font face aux obstacles et aux lourdeurs bureaucratiques qui compromettent le sauvetage, et l'absence de toute information fiable rend l'attente insupportable. Les jours passent sans que les autorités soient capables de donner des informations précises, et les opérations de sauvetage tardent à débuter. Dans le même temps les propositions d'aide venant de l'étranger sont déclinées. Après plusieurs jours d'atermoiements, de tentatives ratées pour arrimer un sous-marin de sauvetage au Koursk, il faut se rendre à l'évidence: il n'y a plus aucune chance de retrouver de survivants parmi les 118 membres d'équipage. Ce sont des plongeurs norvégiens qui réussissent les premiers à pénétrer à bord. Ce lourd bilan fait du naufrage du Koursk l'une des pires catastrophes touchant un navire de guerre en temps de paix. L'attitude des autorités civiles et navales, ainsi que la lenteur du déclenchement des opérations de secours et leur caractère calamiteux (maintenant les familles dans l'angoisse pendant de nombreux jours) ont choqué l'opinion publique bien au-delà des frontières de la Russie.
L'histoire commence au printemps 1918, dans la jeune République socialiste fédérative soviétique de Russie. Les anciens nobles sont dépouillés de leurs biens par les bolcheviks qui ont pris le pouvoir après la Révolution d'Octobre. C'est le tour du manoir des princes de Tikhvin, qui ont gardé une collection unique de peintures et de sculptures. Mais à l'intérieur des boîtes apportées du manoir laissé par les propriétaires, on découvre des briques : les peintures et autres objets de valeur ont disparu.
Deux jeunes recrues de l'université nationale des forces de police de Corée, Hwang Ki-joon (Park Seo-joon) et Kang Hee-yeol (Kang Ha-neul), devenus meilleurs amis à travers leur formation difficile, sont témoins de l'enlèvement d'une femme juste sous leurs yeux. Comme ils l'ont appris à l'académie, ils signalent rapidement l'incident à la police, mais celle-ci avorte l'enquête en raison du manque de preuves et des obstacles bureaucratiques frustrants. Le duo décide alors de s'occuper de l'affaire et de sauver la femme.
Alors qu’il rejoint son équipe de gestion des barrages à Seryeong, un village où se trouve le barrage, un homme ivre conduisant en pleine nuit sa voiture heurte une jeune fille. Ne savant pas quoi faire, il la jette dans le fond du lac. Depuis lors, la culpabilité le ronge. Son fils étant au courant souffre.
En retrouvant la ravissante cougar Vanessa pour un rendez-vous romantique, Sebastian ne se doute pas qu'elle est en réalité un vampire et qu'elle l'a choisi pour intégrer son clan. Mais une fois sur place, il ne fait pas l'unanimité auprès des buveurs de sang et devient leur proie. La situation empire lorsque des chasseurs de vampires débarquent pour exterminer ce nid de vampires. Ils se retrouvent piégés dans une ferme isolée...
Un artiste acrobate de cirque accompagne en Inde le fils d'un PDG récemment décédé pour récupérer son testament. Son oncle envoie de nombreux voyous pour les éliminer, mais par chance et grâce aux acrobates de cirque, le jeune héritier de la société échappe à la mort. En arrivant à leur destination, ils comprennent que l'acrobate était le fils longtemps disparu de l'ami du PDG qui avait envoyé son fils en Inde dans le but de respecter sa promesse à son ami resté dans ce pays.
Le seigneur de guerre Oda Nobunaga vainc rapidement ses ennemis dans sa quête de pacifier et d'unifier le pays sous son autorité. Il existe cependant une région que lui-même craint : la province d'Iga où vivent les ninja de l'école Iga-ryū, connus pour posséder des armes de guerre extraordinaires, ne pas penser comme des humains et assassiner pour de l'argent. L'un de ses ninjas, Mumon, reconnu comme un assassin exceptionnel et qui n'a pas d'égal au combat, a gagné le surnom de « ninja le plus fort d'Iga ». Il est cependant également paresseux et cherche seulement à gagner de l'argent pour plaire à sa femme, Okuni. Dans le même temps, un ninja nommé Heibee Shimoyama devient désabusé par la manière de vivre de son peuple.
Le roi Yejong (Lee Sun-kyun) est intelligent. Bien qu'il soit roi, il essaie de traiter les affaires par lui-même. Son sujet Yi-Seo (Ahn Jae-hong ) est responsable des archives historiques et lui pose de nombreux problèmes en multipliant les actions stupides.