Après les films à sketches Paris, je t'aime et New York, I Love You, c'est au tour de la capitale berlinoise d'être passée au crible par divers grands réalisateurs. 10 segments sont attendus.
Salauds de pauvres est un film à sketches, écrit par douze auteurs. Miroir ou projection, Salauds de pauvres s’amuse de faits de tous les jours et ne raconte pas une histoire, mais des histoires. À travers ces histoires courtes et amères, sont dévoilées toutes les fissures du genre humain...
Yvan s'entend dire qu'il exagère et qu'il est paranoïaque quand il parle de l'antisémitisme grandissant. Il décide de consulter son psy pour parler de son identité et comprendre ce que signifie à l’heure actuelle être français et juif.
Valentine's Day de Kevin Kölsch et Dennis Widmyer
Une jeune fille complexée et harcelée par ses coéquipières du club de natation, est amoureuse de son coach, qui attend désespérément une greffe de cœur.
Une anthologie de films courts dédiés à la ville brésilienne de Rio de Janeiro. Chacun des récits, en véritable déclaration d'amour, révèle un quartier et une caractéristique de la cité à travers le drame social, le conte spirituel, la chronique de moeurs, la comédie sentimentale ou la satire.
The film is set within a sanitarium where Dr. Stenson (Malcolm McDowell) narrates the stories of three different inmates. In the first case (Figuratively Speaking), Gustav (John Glover) is an artist that specializes in clay figures, unaware that a friend of his has been spiking his alcohol with drugs. This results in Gustav believing that his creations can speak to him, as they give him various demands. The second case (Monsters are Real) focuses on Steven (David Mazouz), a young boy that suffers from catatonic schizophrenia. Suspecting that Steven is being abused, his teacher Ms Lorne (Lacey Chabert) tries to intercede on his behalf. The final case (Up to the Last Man) investigates James Silo (Lou Diamond Phillips), a college professor that designs a bomb shelter out of fear that the Mayan apocalypse will wipe out humanity.
New York, I Love You est, comme pour Paris, je t'aime, un travail collectif de onze courts-métrages, faisant chacun environ dix minutes. Les réalisateurs ayant participé au film ont filmé leur segment dans les cinq boroughs de New York. Chaque segment n'a pas de lien direct avec les autres mais tous tournent autour du même thème : trouver le grand amour et le plaisir du sexe.
Génération AMOUR...Au fil des quartiers, des histoires d'amour passager, voilé, mimé, vampirisé, malmené ou révélé...Un Pari(s) moderne émouvant et drôle, un film plein de vie(s) sur le thème de l'Amour.
The Hand
Miss Hua, a beautiful, 1960s high-end call girl is visited by a shy dressmaker's assistant Zhang, to take her measure. He hears the sounds of sex, as he waits in her living room. He is drawn towards her but there is no meeting ground between the two individuals from completely different classes. She summons him when her client leaves. She tells him, she will supply him with an aid to his memory. He will think about her while designing her clothes, she says.
Variety's review of the film describes its plot as "Six lads. . . embark on idiotic physical challenges at the behest of the God of Jokes (Dieudonné), to restore mirth to a morose planet." The crew of stuntmen and pranksters have to perform 11 commandments (which are like tasks or tests). These tasks include:
Les interlocuteurs discutent de sujets aussi variés que la caféine, les glaces à l'eau, Abbott et Costello, les théories du complot contre Elvis Presley, l'art de préparer le thé anglais, les inventions de Nikola Tesla, le groupe rock imaginaire Sqürl, le Paris des années 1920 ou l'utilisation de la nicotine comme insecticide.
Lars von Trier prétend que le court-métrage Det perfekte menneske de Jørgen Leth sorti en 1967 est son film préféré. Dans le but de lui rendre hommage, mais d'une manière perverse, à la fois manipulatrice et créatrice, il propose à l'auteur du film original, son compatriote Jørgen Leth, de détruire et de reconstruire autrement ce court-métrage. Il défie Leth d'en tourner cinq remakes. Pour chaque projet, il lui impose de nouvelles « obstructions », consignes, restrictions, interdictions plus ou moins arbitraires, l'obligeant à repenser l'histoire, l'esthétique et les personnages de son film. Il s'ensuit à chaque épreuve un feed back entre les deux hommes où Lars von Trier, dans une sorte de position de « directeur de conscience », à la limite de l'humiliation, semble prendre à cœur de déconstruire et détruire ce que Jørgen Leth a réalisé.