Le documentaire montre des scènes tournées sur la célèbre Alaska Plage, près de Chicago, avec des hommes et des femmes dans leur costume de bain, ou en train de nager.
Le film s'ouvre sur une intervention de Marcel Cachin, directeur de l'Humanité, à son bureau, qui raconte l'histoire du journal, et notamment la création des CDH (Comité de défense de l'Humanité, puis Comité de diffusion de l'Humanité) en 1929. S'ensuivent trois saynètes fictionnelles qui toutes, visent à monter le rôle du journal aux côtés de tous ceux qui luttent ; la première séquence raconte la prise de conscience politique d'un ouvrier parisien pendant le Front populaire, par la lecture du journal. La deuxième séquence, consacrée à la période de l'Occupation, se déroule à Dieppe. Elle montre un homme entrer en Résistance par la distribution de L'Humanité clandestine. La troisième séquence est située à la campagne, et montre la mobilisation d'un village, derrière une vieille femme, contre l'implantation d'une base de l'OTAN dirigée par un ancien général allemand. Le film se veut fédérateur : les personnages et les séquences ont été soigneusement composés pour mettre à l'honneur aussi bien les ouvriers que les paysans, et les Parisiens que les provinciaux.
The film focuses on the employees who staff the United States Department of Veterans Affairs suicide hotline in Canandaigua, New York. The 44-minute documentary shows the emotional strain the job has on employees (many of whom are veterans, former service members, or military family members), and the deep compassion and devotion they have for veterans in a time of crisis.
Le film retrace la vie et le travail du climatologue et glaciologue Claude Lorius et apporte une réflexion sur l'environnement et le rôle des hommes dans les changements climatiques. Il affirme avec des conclusions scientifiques, tirées des travaux de ses équipes, que le bouleversement climatique est « indiscutablement dû à l'homme ». Le rejet de gaz carbonique dont l'homme est responsable contribue à augmenter la température moyenne autour du globe, toutes les régions étant touchées sans exception. Cela entraîne des cataclysmes de plus en plus dévastateurs.
D’un côté, le détroit de Gibraltar et ses 15 kilomètres de large. De l’autre, la barrière entourant Ceuta et Melilla sur la côte marocaine. Dans les deux cas, le passage obligé de nombreux migrants d’Afrique pour atteindre l’Espagne ; un passage qui ne serait pas aussi dangereux si les autorités frontalières ne cherchaient pas à les empêcher de passer, coûte que coûte…
Il habite le monde comme sa maison : immobile. Un grave accident l'a cloué là, en ce point du monde : une maison au milieu d'un grand jardin. Il ne peut plus parcourir le monde : il le contemple jour après jour depuis sa maison. Il est cinéaste. Il n'a vécu que pour faire des films. Toujours un de plus : envers et contre toutes les circonstances. Il imagine faire un film avec toutes ses images fixes, se ranimant par conjonction, juxtaposition, succession. Il en isolerait, dans le lot innombrable, ce qu'il en faut pour voir une année s'écouler, quatre saisons, jour après jour. Jour après jour serait le titre. Le programme. Le seul scénario. Une année s'y écoulera. Une toute petite année parmi les milliards d'années du monde. Une vie s'y imprimera. Une petite vie parmi les milliards de vies du monde.
Téléfilm relatant le procès de Nuremberg, après la Seconde Guerre mondiale, au cours duquel 22 hauts dirigeants du Troisième Reich furent jugés pour crime contre l'humanité notamment. L'un d'entre eux, Robert Ley (chef du Front allemand du travail), se suicidera avant le début du procès, réduisant à 21 le nombre des accusés.
« Daguerréotypes n'est pas un film sur la rue Daguerre, pittoresque rue du 14e arrondissement, c'est un film sur un petit morceau de la rue Daguerre, entre le n 70 et le n 90, c'est un documentaire modeste et local sur quelques petits commerçants, un regard attentif sur la majorité silencieuse, c'est un album de quartier, ce sont des portraits stéréo-daguerréotypés, ce sont des archives pour les archéo-sociologues de l'an 2975. C'est mon opéra-Daguerre. »