L'inspecteur Tahar et son apprenti, sont invités par Mama Traki, héroïne populaire tunisienne, à passer leurs vacances à Tunis. Avant de quitter Alger, ils font halte dans un complexe touristique où un meurtre vient d'être commis. L'enquête pleine de surprises et de rebondissements les mènera jusqu'à Tunis où ils retrouveront Ommi Traki et sa famille...
Dans un village de montagne en Kabylie, pendant la guerre d'Algérie, la majorité de la population a rallié le mouvement indépendantiste du FLN. L'armée française décide de le rayer de la carte.
Mélange d'images d'archives et de scènes de fiction, "Tahia Ya Didou" est un hommage à la ville d'Alger, qui est à l'origine du projet. Au hasard des promenades et des rencontres, Simon et sa femme, un couple de touristes français, découvrent Alger. Simon reconnaît dans un bistrot un Algérien qu'il a autrefois torturé. L'homme le fixe. Pris de panique, Simon s'enfuit. "Tahia Ya Didou" est l'unique film du comédien Mohamed Zinet. Né d'une commande de la ville d'Alger, qui attendait qu'il soit un documentaire touristique, il ne fut pas du goût des autorités et il n'y eut aucune sortie en salles. Devenu malgré tout un film culte, "Tahia Ya Didou" est bien plus qu'un documentaire promotionnel. Hommage à la ville d'Alger, à ses habitants, il est doté d'un ton inclassable, cohabitation de comique burlesque et de tragiques réminiscences du passé douloureux du pays. La comédie restaurée et numérisée en 2016, figure parmi les plus grands succès du cinéma algérien.
Algiers Pan-African Festival is a documentary shot in 1969 during the first edition of the Festival. William Klein follows the preparations of this "Opera from the Third World", the rehearsals, the concerts... He blends images of interviews made to writers and advocates of the freedom movements with stock images, thus allowing him to touch on such matters as colonialism, neocolonialism, colonial exploitation, the struggles and battles of the revolutionary movements for Independence, African culture...
Alors qu’il tente par tous les moyens de rester en dehors des bouleversements sanglants provoqués par la bataille d’Alger, Hassan, père de famille intègre et naïf, offre sans le savoir, l’hospitalité à un moudjahid activement recherché par l’armée française.
In 1962, René Vautier, together with some Algerian friends, organized an audiovisual formation center to encourage a "dialogue in images" between the two factions. A film was edited from that experience, but the French police partially destroyed it. The images that were saved represent an unprecedented historical document: They tell of the Algerian War and the history of the ALN (National Liberation Army), as well as showing life after the war and, particularly, the reconstruction of the cities and the countryside after the war of Independence.