Les débuts de la Première Guerre d'indépendance à Cuba : en octobre 1868, dans la province d'Oriente, l'avocat et propriétaire terrien Carlos Manuel de Cespedes organise la rébellion contre la domination espagnole. Les patriotes, retranchés à Bayamo, opposent une farouche résistance à deux colonnes de l'armée coloniale. Manquant d'armes et de munitions, les forces révolutionnaires compensent leur infériorité par l'utilisation des tactiques de guérilla.
Oscar, scénariste, et Arturo, cinéaste, envisagent de réaliser ensemble un film de fiction sur la persistance du machisme à Cuba. Ils choisissent comme terrain de leurs observations le milieu des dockers du port de La Havane. Leur objectif est de mettre en relief le décalage entre la conscience politique et l'attitude réelle des hommes à l'égard des femmes. Au cours de son enquête, Oscar s'éprend d'une employée, Lina, jeune fille-mère, cultivant avec fierté son autonomie. Le ménage d'Oscar se trouve alors menacé. Un autre conflit apparaît entre Oscar et Arturo au sujet du film. Leur projet commun finit par échouer en raison de divergences de conception. De son côté, Lina, en femme libérée, dénonce l'attitude contradictoire d'Oscar, prisonnier de certains comportements qu'il croyait pouvoir critiquer chez les autres. Elle décide, en définitive, de retourner dans sa ville natale, Santiago de Cuba, où elle peut espérer une ascension professionnelle.
L'action se déroule à La Havane, dans le nouveau quartier de Miraflores, construit en 1962 pour reloger les habitants d'un bidonville, connu sous le nom des Yaguas. Une jeune institutrice, Yolanda, doit faire face aux problèmes posés par la mentalité et les réticences d'une population jusque-là habituée à vivre dans la marginalité. Elle est aussi amoureuse de Mario, qui fut, un temps, aspirant d'une société secrète et qui, désormais, se construit une nouvelle personnalité dans les brigades révolutionnaires. Au travail, les convictions idéologiques de Mario entrent en conflit avec les comportements de son meilleur ami, Humberto, plutôt hésitant et absentéiste. « Ce conflit, en milieu ouvrier, entre une nouvelle éthique qui se cherche et les anciens modèles culturels est aggravé chez Mario par un autre qui l'oppose à Yolanda, son amie et qui relève, celui-là, du machisme.
The film opens with three gangsters cornering Santo (Rodolfo Guzmán Huerta) in a deserted alley and knock him out. He is taken to the laboratory of a crazed Doctor Campos (Joaquín Cordero) and turned into a docile servant of the mad doctor through a series of injections and electric shocks. Campos is apparently a respected scientist, the friend of Lieutenant Zambrano. Zambrano warns him to beware: other scientists have recently been kidnapped. Almost as they speak, the gangsters and the brainwashed Santo assault the bodyguards of a Doctor Lowel and carry off the scientist. He is later given the brainwashing treatment at Campos' lab. The bodyguards tell Zambrano that Santo, an undercover agent for the police force, was one of the kidnapers. Meanwhile, another undercover agent, El Incógnito (Fernando Osés) uses a special device to locate the hideout of Doctor Campos.
In 2000 while in Cuba, filmmaker and amateur boxer Brin-Jonathan Butler started training at a small Havana gym under a coach named Hector. Brin soon discovered that Hector was in fact two-time Olympic gold medalist and boxing superstar Hector Vinent, who lived in Havana and hired out for private training at $6 per day.
Francisco J. Pérez, ouvrier exemplaire, concepteur d'une machine à produire des bustes de José Martí, le héros national, meurt broyé par sa propre invention. Sur proposition de Ramos, responsable de l'atelier des images révolutionnaires, il est enterré avec son livret de travail, symbole de sa condition sociale. Or, privée de ce document, sa veuve ne peut obtenir sa pension de réversion. Son neveu, Juanchín, effectue d'incertaines démarches pour exhumer le cadavre. Mais, une fois le mort déterré clandestinement, il faut, à nouveau, obtenir un permis d'inhumer. Et, comment ? Puisque le défunt ne figure pas légalement comme exhumé. La quête de Juanchín sombre dans l'absurdité et provoque son hystérie. Après un dernier refus de l'administrateur, il l'étrangle. Une ambulance le conduit alors à l'asile. Sur la route du cimetière, le corbillard du bureaucrate assassiné croise un véhicule du service d'hygiène qui, alerté par la présence d'oiseaux charognards près du domicile de la veuve, ramène d'urgence la dépouille de l'ouvrier modèle dans son caveau.
Sergio Garcet is an intellectual who abandons the Cuban Revolution and 'underdevelopment' behind only to find himself at odds with the ambiguities of his new life in the 'developed' world.
Emilio, jeune ingenieur au chomage, arrive a la gare routiere d'un village de Cuba. Des dizaines de personnes y attendent l'arrivee d'un bus ou, mieux encore, la reparation du car de la station que le chef de gare a entreprise deux jours plus tot. Jacqueline entre a son tour et rejoint la file d'attente, sous le regard enchante d'Emilio. Un bus apparait enfin, mais n'offre qu'une seule place. La tension monte et une dispute eclate pour designer le chanceux acquereur de ce billet.