Les événements du film se passent dans la Tunisie des années 1930, plus précisément de 1924 à 1934. Ils relatent l'histoire de trois mythes de l'histoire tunisienne : Tahar Haddad, l'un des précurseurs des droits de l'homme, de la liberté et de l'émancipation de la femme tunisienne, Mohamed Ali El Hammi, fondateur du premier mouvement syndical tunisien et Abou el Kacem Chebbi, considéré comme le réformateur de la poésie tunisienne. Dans un contexte politique très agité, avec un peuple en lutte pour l'indépendance, le film relate une confrontation entre des esprits réformateurs et une société conservatrice rattachée aux traditions.
Comment être une femme moderne dans un monde qui veut l'être mais qui ne l'est pas encore ? Comment être une femme arabe libre dans un monde où le seul projet qui compte pour une femme est le mariage, ce contrat social qui laisse peu de place à l'individu, à ses choix et à son épanouissement. Comment être une femme arabe ayant un projet de vie et s'entêter à le réaliser dans un univers où l'ordre de la famille est incontournable. Amina, Aïda et Fatiha sont trois femmes de 35 ans environ qui ont fait des études et qui ont découvert la liberté. Leurs trois projets de vie feront naufrage dans l'océan des hommes.
In a popular neighborhood of Tunis, a trombonist dreams that his son, Anès, becomes a great musician. The son makes his father’s dream his own, and develops extraordinary aptitudes with the violin. After winning several international competitions, he is offered the chance to enroll in the prestigious Yehudi Menuhin School in London. The film shows us Anès' journey, the obstacles he faces on the way, and his evolution while in exile in Europe.
Youssef (Mustapha Adouani) is a Muslim who works on the TGM and lives in La Goulette. His best friends are Jewish Jojo the brik seller and Sicilian Giuseppe the fisherman who are also his neighbours. Their daughters grow up together and share prospects for life but the landlord Hadj Beji (Gamil Ratib) has his eyes on Youssef's daughter Meriem (Sonia Mankaï).
Un réalisateur de télévision, Chamseddine, décide de tourner un reportage sur des ouvriers tunisiens partis travailler en France et de retour au pays. Il rencontre ainsi Hamed et sa femme Maoura, d'origine espagnole. Ben Ammar filme les difficultés qu'éprouve le cinéaste à réaliser son documentaire, et les épreuves que traversent les couples constitués d'Hamed et de Maoura, de Chamseddine et Merle, la fiancée française du réalisateur.
Moncef Kahloucha, a great fan of 1970s movies, and also a house painter, shoots hilarious feature films in VHS with the help of the inhabitants of Kazmet, a poor district in Sousse (Tunisia). He produces, directs and stars in his films which are an opportunity for the locals to get away from their dull lives and to experience unique moments, from preparation to the screening of the film in the local café. The camera follows Kahloucha shooting his latest production: Tarzan of the Arabs.
Les pays de l'espace Schengen décident encore d'une nouvelle loi relative à l'immigration. Il faut réussir la dictée de Pivot pour pouvoir obtenir un visa d'entrée en Europe. Rachid, candidat à l'immigration, doit subir ce test.
Le film s'ouvre par une citation de Jacques Berque : « Andalousies toujours recommencées, dont nous portons en nous à la fois les décombres amoncelés et l'inlassable espérance ». De fait, le film s'inspire de l'Andalousie musulmane du X siècle et de l'univers poétique d'Ibn Hazm, auteur du Collier de la colombe.