Giant robots appear out of the mist and attack Montevideo, the capital of Uruguay. Accompanied by a squadron of spacecraft, they fire weapons at the city and destroy key buildings, leading to mass panic. The military fights back to little avail. At the end of the film, the robots fuse together to form a giant sphere, which then detonates and engulfs the city in a fireball. No explanation is given for the attack.
The film covers 24 hours in the life of three street youths in Montevideo. The story is about three young boys, Leche, Javi and Seba, trying to survive until Sunday. They have a lot of problems regarding studies, girls, and their lives consist mostly of drinking or sleeping or meeting strange people like the crazy delivery boy, a retarded drug addict, and a philosophical counter clerk at a video rental store.
The documentary covers two cities, Montevideo and Buenos Aires, primarily in the 1920s and 1930s, and the men of action who migrated in from Spain, Germany, Russia and elsewhere during this time. These romantic gunmen committed their acts, not for personal gain but to fight against a regime they perceived as oppressive and repressive.
Anina Yatay Salas est une petite fille qui n’aime pas son nom car c’est un palindrome – on peut le lire à l’envers comme à l’endroit – et fait d’elle la risée de ses camarades. Un jour, suite à une bagarre dans la cour d’école, Anina et son ennemie Gisèle sont convoquées par la directrice qui leur remet comme étrange punition, une enveloppe scellée qu’elles ne devront pas ouvrir avant sept jours. Anina avec son imagination débordante, fera tout pour deviner le contenu de l’enveloppe mystérieuse…
En 1973, à la suite d'un coup d'état, s'installe en Uruguay une dictature militaire qui s'empresse d'emprisonner les opposants politiques. Parmi eux, trois dirigeants des Tupamaros, José Mujica dit Pepe, Eleuterio Fernández Huidobro dit Ñato et Mauricio Rosencof que le pouvoir en place considère comme des otages qui seront exécutés à la moindre action de leurs quelques compagnons d'arme restés en liberté. Incarcérés sans procès pendant douze ans, les trois hommes sont torturés, privés de tout contact, ballotés de geôles sordides en culs de basse fosse, affamés et maintenu dans un état de crasse indescriptible. Malgré cela, les trois hommes résistent en repensant aux moments heureux de leur vie, en communiquant en frappant sur les murs ou en mettant en évidence l'absurdité du régime pénitentiaire. Ils font échouer ainsi le plan des militaires de les rendre fous faute de pouvoir les tuer.
Gonzalo Tamayo, madrilène d'une trentaine d'années, poursuit toujours ses études de philosophie, sans grande conviction. Au tournant de sa vie d'adulte, Gonzalo pense qu'un obstacle entrave son aspiration à réinventer sa vie : on ne lui a jamais demandé son consentement pour être baptisé ! Il décide donc d'apostasier et entreprend des démarches pour être radié des livres de l’Eglise. Il voit dans cette rupture radicale la fin de ses tourments et de son attachement à sa mère. Il entre alors dans une course folle, de prélat en cardinal, entraînant dans son sillage un doux chaos. A travers cette quête irraisonnée aux yeux de tous, il revisite son passé et est envahi par de drôles de visions.
The film tells of an ambitious business man (Pauls) who wants to sell train 33, affectionately known as "Corazón de fuego," to a company in Hollywood. A group of elderly men known as "The Friends of the Rails" think that to do so would be to sell an important part of the country's history and so devise to steal the train.
Jara (Horacio Camandule) is a security guard at a supermarket who falls in love with Julia (Leonor Svarcas), a cleaning worker on the night shift. Jara is about 30 years old, solitary, quiet and big. That is why before approaching to Julia, he watches her via the television cameras monitoring the supermarket, and then pursues her across the city of Montevideo, where the film is set.
Susana ne sait plus où trouver de l'argent pour survivre avec sa petite fille, après que son mari est hospitalisé dans un asile psychiatrique. Un jour, elle décide de cambrioler une maison de crédits, et se lance ainsi à une succession de délits similaires, croyant à chaque fois que ce sera la dernière. La presse l'appelle "Pepita la pistolera" et la décrit comme une dangereuse délinquante alors qu'elle ne cherche qu'à résoudre des besoins de base de manière temporaire. Un jour, la TV annonce que la police a finalement attrapé Pepita la Pistolera et montre la photo d'une pauvre femme, mère d'un bébé de six mois. Pepita décide donc d'organiser un dernier cambriolage.
María, une jeune femme travaillant à domicile pour une usine textile, élève seule ses trois enfants et doit prendre en charge son vieux père, Agustín, atteint de la maladie d'Alzheimer. María tente vainement de le placer en maison de retraite. Sa sœur, sollicitée à son tour, refuse de l'aider. Désespérée, María abandonne Agustín sur un banc public…