En 1954, au début de la guerre d'Algérie, deux hommes, que tout oppose, sont contraints de fuir à travers les crêtes de l’Atlas saharien d'Algérie. Au cœur d’un hiver glacial, Daru, instituteur reclus, doit escorter Mohamed, un paysan accusé du meurtre de son cousin. Poursuivis par des villageois réclamant la loi du sang et par des colons revanchards, les deux hommes se révoltent. Ensemble, ils vont lutter pour retrouver leur liberté.
Le film relate le parcours militaire et politique de Benali Boudghène (colonel Lotfi), une des plus grandes figures de la guerre de libération algérienne.
Inspiré de faits réels. L'histoire parcourt l'Algérie des années 1930 aux années 1960, racontant le destin de Younes, jeune Algérien élevé comme un pied-noir par son oncle. Il traverse les tragédies vécues par son pays, dont l'attaque de Mers el-Kébir et la guerre d'Algérie, sur un fond d'histoire d'amour impossible.
Djamila Boupacha (Hafsia Herzi) est une jeune femme qui vit encore chez ses parents, à Alger, au temps des Français. Elle est arrêtée pour acte de terrorisme. Son interrogatoire devient très vite une torture. Les militaires la battent, la torturent et la violent. Son avocate, Gisèle Halimi (Marina Hands), prend cette affaire vraiment à cœur.
Algérie, avril 1961. Tandis que quatre généraux de l’armée française s’emparent du pouvoir à Alger, voici l’évocation, au travers d'un récit choral, d’une poignée de destins croisés, emportés dans la tourmente et la violence inéluctable de l’Histoire. Jacquot, jeune appelé, est brusquement confronté à l’horreur de la guerre. Thomas, fils de colon et photographe boiteux, rêve de l’OAS Et alors que Sarah, favorable à l’indépendance, tente de fuir les démons qui la hante depuis cette bombe posée dans un café quelques années plus tôt, Malika, elle, rejoint les rangs du FLN et son amoureux Ali.
Ce film documentaire est sorti à l’occasion du cinquantenaire des événements survenus au moment et après la manifestation pacifique des Algériens du 17 octobre 1961 à Paris durant la guerre d'Algérie, organisée par la Fédération de France du FLN en réaction à un couvre-feu institué par le préfet de police Maurice Papon pour les seuls Algériens favorables à l'indépendance de leur pays. La manifestation pacifique sera très sévèrement réprimée par les forces de l'ordre dont le nombre de victimes est estimé entre 80 et 200 morts. Les cadavres seront, pour certains, retrouvés flottant dans la Seine.
À l'issue de la Seconde Guerre mondiale sur le front de l'Ouest, les manifestations pour l'indépendance de l'Algérie deviennent de plus en plus fréquentes en Algérie jusqu'aux massacres de Sétif, Guelma et Kherrata, dans le Constantinois, à partir du 8 mai 1945. Les scènes finales évoquent le massacre du 17 octobre 1961 à Paris.
Marc, la quarantaine, marié, père de famille, vit à Aix-en-Provence, près de la Méditerranée. Agent immobilier dans l'agence de son beau-père, il mène une vie tranquille. Alors qu'il fait visiter une maison à vendre, il croise une femme qui veut acheter cette maison pour le compte d’un marchand de bien et dont le visage lui semble familier. Le soir, il pense qu'il s'agit de Cathy, son amour d'enfance, quittée à douze ans lorsque sa famille dut fuir Oran, dans les années 1960, en pleine guerre d'Algérie. Troublé par cette rencontre il se remémore son amour d’enfance et retombe follement amoureux d’elle, oubliant sa femme et sa fille. Il la revoit et a une relation sexuelle avec mais elle le quitte au matin sans lui donner ses coordonnées en lui disant simplement qu’ils se reverront le jour de la signature du compromis de vente chez le notaire. Ils se revoient ce jour là mais après elle disparait de nouveau bien que lui ayant promis de le revoir à son hotel. Marc est troublé et se rend compte qu’il y a des choses étranges car sa mère et sa soeur lui apprennent que Cathy est morte avec son père dans un attentat peu aprés son propre départ précipité vers la France avec ses parents. Il mène son enquête partagé ente espoir et doute car il s’est de nouveau follement épris de celle qu’il croit être Cathy. Au fil de ses découvertes il découvre que « Cathy » est mêlée plus ou moins malgré elle a une opération immobilière frauduleuse montée par un des collègues de Marc et qu’en fait la dite Cathy est en réalité sa meilleure amie Marie-Jeanne (amoureuse de Marc lorsqu’ils étaient tous ensemble) que Marc avait cotoyé mais ignoré car à l’époque il n’avait d’yeux que pour Cathy. Cathy qui est bien morte en Algérie comme sa mère et sa soeur le savaient mais ne lui en avaient rien dit à l’époque car sachant son amour pour Cathy et son désespoir d’avoir du quitter l’Algérie et son amour d’enfance. Quelques mois plus tard alors que Marc est séparé de sa femme et vit seul il revoit Marie-Jeanne (la fausse Cathy) qui lui avoue avoir toujours été amoureuse de lui et a souffert en silence dans l’ombre, elle n’a jamais dit être Cathy mais éprouvant encore de l’amour pour lui elle n’a pas eu le courage de le détromper. Ils se revoient quelque temps plus tard et Marc lui dit qu’il va revenir sur les lieux de son enfance mais elle avoue ne pas en avoir le courage. Le film se termine à Oran où on voit Marc en pleurs qui revient sur la terrasse où il a passé de tendres moments avec Cathy. On ne sait pas comment se poursuivrait la relation entre Marie-Jeanne et Marc mais ils semblent néanmoins très proches lors de leur dernière entrevue avant le depart de Marc pour l'Algérie donc on peut supposer une suite positive a leur relation.
The film is set in 1959 during the Algerian War. Lieutenant Terrien (Benoît Magimel), an inexperienced and naïve junior French Army officer, has volunteered for active service, rather than a safe staff post in Algiers. He is posted to Kabylie, a remote and mountainous region of Algeria, as a replacement for Lieutenant Constantin (Hicham Hlimi) who was killed during a ‘friendly fire’ incident commanding a counter-insurgency ambush operation – i.e. he was accidentally killed by his own side during a confused fire-fight. The war in Algeria is much more complicated than Lieutenant Terrien anticipated as he takes over command of his new platoon at the outpost "Mazel". Within hours of taking over his new command Terrien is ordered to lead a ‘locate and destroy’ mission into the zone interdite (the 'Forbidden Zone') to find a World War II French Army veteran named Slimane, now a local commander of Algerian rebels trying to win the independence of their homeland. Slimane is never seen in person during the film.
France, 1993. The retired Colonel Raoul Duplan is shot in his home. As the police is baffled, the young army officer Galois leads the investigation. Shortly thereafter, she receives a letter containing some diary pages of a lieutenant who served since 1955 in the Algerian war under the command Duplan and disappeared in 1957 under mysterious circumstances.
Le film, à travers le destin croisé de plusieurs personnes, retrace les évènements qui ont mené au massacre du 17 octobre 1961 à Paris, où plusieurs dizaines à centaines de Nord-Africains furent tués par la police lors d'une manifestation pacifique en faveur de l'indépendance de l'Algérie et contre le couvre-feu auquel ils étaient astreints.
Le film retrace quelques jours de la vie du sous-lieutenant Roque, pendant la Guerre d'Algérie. Il a sous ses ordres 400 soldats français dont quatre jeunes musulmans qui se sont engagés et qui sont très utiles au reste du poste (qui se situe dans le Sud-Est algérien) en ce qui concerne les traductions de l'arabe au français.