Franju's film contrasts peaceful scenes of Parisian suburbia with scenes from a slaughterhouse. The film documents the slaughtering and butchering of horses, cattle, and sheep. The film is narrated without emotive language.
Le documentaire s'intéresse à l'évolution des conditions de travail des ouvrières qui confectionnaient des vêtements (International Ladies' Garment Workers' Union), de 1910 où les conditions étaient déplorables, jusqu'aux années 1950, où les conditions et les salaires étaient bien meilleurs grâce à la création et l'intervention des syndicats.
Ce film expose le cas d'un village belge traversé par trois frontières : l’Allemagne, les Pays-Bas, la Belgique. Il retrace l'univers des travailleurs, celui des douaniers et celui des fraudeurs… Henri Storck tisse entre tous ces acteurs une intrigue commune et aborde des thèmes sociaux et économiques.
Reportage de cinéma direct aux usines Citroën de Rennes, en juillet 1972, et au Salon de l'auto de Paris, en octobre de la même année, le documentaire propose un regard insistant sur les conditions de travail à la chaîne dans une usine d'automobiles en filmant minutieusement le travail d'un homme ou d'une femme, tentant de faire sentir ce que peut être la répétition des mêmes gestes pendant huit heures d'affilée. L'archaïsme évident de cette forme de travail perce à travers les apparences ultramodernes de ces grands ateliers.
Kaleil Isaza Tuzman et Tom Herman ont un rêve depuis qu'ils sont devenus amis à l'âge de quinze ans : s'enrichir en développant leur propre société dot com, dans un aspect de l'interface informatique. Aujourd'hui, à la fin de la vingtaine, ils ont eu l'idée qu'ils pensaient faire leur fortune, à savoir, comme Tom l'appelle, des " contraventions de stationnement " : l'entreprise sera l'interface en ligne de perception des recettes pour les administrations municipales. GovWorks.com a vu le jour en mai 1999 avec seulement une idée. Le processus de construction de l'entreprise se concentre sur l'obtention de capital-risque basé uniquement sur l'idée, avec la mécanique réelle du site Web apparemment presque une pensée après coup.
Le film relate la grève dans l'usine de textiles Rhodiacéta de Besançon, en mars 1967, au travers des témoignages des ouvriers sur leurs conditions de travail et motivations. Cette grève a pris un aspect particulier de par l'assimilation du plan culturel du plan social : les revendications ne tournent plus seulement autour de l'entreprise (salaires ou sécurité de l’emploi), mais aussi sur le mode de vie que la société imposait notamment à la classe ouvrière. Les ouvriers grévistes qui occupent l'usine ont à leur disposition du matériel pour filmer les événements, grâce à Chris Marker, Jean-Luc Godard ainsi que Bruno Muel. Comme le Mai rampant italien, cette grève est une sorte d'avant-coureur de la vague de fond de mai 68.
The first portion, "Rust," follows a group of factory workers in three state-run factories: a smelting plant, an electric cable factory and a sheet metal factory. Workers of all three are hindered by sub-standard equipment, hazardous waste, and a lack of safety precautions. Perhaps even worse, the declining need for heavy industry results in a constant shortage of raw materials, leaving the workers idle and concerned for their future.
Le documentaire fournit des images sur le fonctionnement des plus grandes industries agroalimentaires européennes que ce soit dans le domaine de la production des fruits et légumes que dans celle de la viande. Ni musique ni commentaire ne viennent accompagner les séquences filmées. Le décor est constitué de champs, d'usines, d'abattoirs, et le réalisateur utilise de longs plans fixes y compris pour filmer les ouvriers en train de manger.
The film starts by tracking the hypothetical savings of a typical depositor as they move around the global system, showing exploitation as various financial agents try to produce high returns. There are several interviews with investment managers, politicians, economists as well as homeless people and workers; the film sets them up as good guys and bad guys.