Le 22 juin 2001, les 123 salariés de la filature Delebart-Mallet du groupe Mossley à Hellemmes près de Lille apprennent brutalement la liquidation de leur entreprise. C'est le début d'une longue lutte avec pour enjeu l'obtention d'un plan social digne de ce nom. D'août 2001 jusqu'à mars 2002, le documentaire suit les différents moments de ce conflit.
Le film relate la grève dans l'usine de textiles Rhodiacéta de Besançon, en mars 1967, au travers des témoignages des ouvriers sur leurs conditions de travail et motivations. Cette grève a pris un aspect particulier de par l'assimilation du plan culturel du plan social : les revendications ne tournent plus seulement autour de l'entreprise (salaires ou sécurité de l’emploi), mais aussi sur le mode de vie que la société imposait notamment à la classe ouvrière. Les ouvriers grévistes qui occupent l'usine ont à leur disposition du matériel pour filmer les événements, grâce à Chris Marker, Jean-Luc Godard ainsi que Bruno Muel. Comme le Mai rampant italien, cette grève est une sorte d'avant-coureur de la vague de fond de mai 68.
The first portion, "Rust," follows a group of factory workers in three state-run factories: a smelting plant, an electric cable factory and a sheet metal factory. Workers of all three are hindered by sub-standard equipment, hazardous waste, and a lack of safety precautions. Perhaps even worse, the declining need for heavy industry results in a constant shortage of raw materials, leaving the workers idle and concerned for their future.
The film follows rock band Thirty Seconds to Mars as they first learn of and then begin to fight a $30 million lawsuit brought by record label EMI. At the time, they had been writing songs in preparation for the follow-up to their 2005 album A Beautiful Lie. For the bulk of the film, the band, consisting of Jared Leto, his brother Shannon Leto, and Tomo Miličević, is shown working with producers Flood and Steve Lillywhite to create what would eventually become This Is War. Between recording sessions, they meet with lawyers to negotiate for the band's survival.
Ce film développe les points de vue exprimés par ceux qui refusent « des boulots de merde payés des miettes », points de vue éminemment minoritaires dans les médias puisque contrant le discours dominant sur la valeur travail, relayé par les conseillers pour l'emploi. Le film montre par exemple comment un employé est instruit lors de son premier jour du travail chez Domino's Pizza ; puis le spectateur voit les travailleurs de Michelin et les écoute lire le livre de leur PDG relatant son rapport à ses employés. On peut voir parallèlement une assemblée du MEDEF et ses membres exprimer leur positions sur l'emploi en France et, en contrepoint, des chômeurs expliquer pourquoi ils refusent de travailler.
In the 1930s, in the throes of the Great Depression, the government of Quebec relocated more than 80,000 citizens to found a new settlement in the virgin forests of Quebec’s Abitibi region. After enduring backbreaking work to clear the land, however, many left, seeking a better life in the city or as labourers for the large corporations that had come to exploit the North’s valuable resources. The Lalancette family, however, have persisted in forging their future on the land from one generation to the next, earning their keep from farming, and defying the constraints of globalization and the mining and forestry companies that control the area. Revisiting the heritage of Quebec filmmakers who documented Abitibi, following in the footsteps of Pierre Perrault, among others, this documentary traces a defining chapter of Quebec history and raises fundamental questions about regional development.
Au Nicaragua, les travailleurs paient un lourd tribut pour approvisionner le monde entier en bananes bon marché, et l'avocat Juan Dominguez compte bien les aider.
Rouquier retourne, 38 ans après, sur les lieux du tournage de Farrebique, près de Goutrens, dans l'Aveyron (Midi Pyrénées, Massif central), continuant la saga de sa propre famille. Ici c'est le monde qui a changé, les cuisines sont maintenant habillées de formica, l'agriculture est en passe de devenir une industrie mais les personnages sont toujours aussi vrais.