Le groupe anarchiste « Nada » décide d'enlever l'ambassadeur des États-Unis en France. Dans l'opération, un policier est tué et le commissaire Goemond est décidé à tout mettre en œuvre pour résoudre cette affaire…
Les deux réalisateurs Pierre Carles et Georges Minangoy vont à la rencontre d'anciens partisans français et catalans engagés dans la lutte anti-franquiste anarchiste des années 1970. Ils interviewent dans ce film d'anciens membres des GARI et du groupe Action directe ainsi que certains de leurs amis.
As a storm washes away the ruins of Manor Farm, Jessie, a female Border Collie, Benjamin the donkey, Muriel the goat, and other farm animals make their return to the farm after years of hiding in the wilderness. Jessie reflects on the events that led them to their current situation. The film flashes back years earlier.
Jake Cassevetes (Nathan Crooker) is a world-renowned cameraman who has just arrived back from being embedded during the U.S. invasion of Iraq. Jake does not buy into the theory of a corporate-controlled press. Though, after having much of his best footage in Iraq censored by the network, Jake is growing disillusioned with his corporate masters. During this, Jake befriends a boy (Brett DelBuono) and in time meets his mother, Tina Santiago (Rosario Dawson), a pretty young widow whose husband died while serving in Iraq, with whom he forms a close bond.
In the opening scene the protagonist begins to reminisce about his youth and remembers the day he was saved from execution in a raid performed by the anarchist cell he would later join. After reaching a safe house the group begins to teach him the tricks of their trade. He later takes part in several missions, though he continues to have difficulty throughout the film with the violence of his new job.
Ce film a pour titre un slogan qui a fait le tour de la Grèce en crise depuis 2010 et qui commence à voyager au-delà : « Ne vivons plus comme des esclaves », qui se prononce « Na min zisoumé san douli » en grec. Un slogan qu'on peut lire en Grèce sur les murs des villes et sur les rochers des campagnes, sur les panneaux publicitaires vides ou détournés, dans les journaux alternatifs et qu'on peut entendre sur certaines stations de radio et dans les lieux d’autogestion qui se multiplient. Un slogan diffusé jour après jour, et que les intervenants grecs du film invitent les spectateurs à reprendre en chœur, sur les mélodies du film réalisé en coopération avec eux.
Tourné sur cinq continents durant plus de deux ans, The Fourth World War fait l’inventaire des nombreux mouvements citoyens qui ont pris naissance un peu partout sur la planète, comme pour écrire une nouvelle page d’histoire composée d’actes de résistance au néo-libéralisme. Filmé simultanément aux premières lignes des conflits au Mexique, en Argentine, en Afrique du Sud, en Palestine, en Corée, en Afghanistan et en Irak, mais aussi lors des grands rassemblements de Seattle, de Gênes et de Québec, ce film engagé témoigne des luttes que mènent des hommes et des femmes contre l’oppression, l’injustice et la violence qui leur sont imposées. The Fourth World War traite de cette guerre sournoise que les États, en concomitance avec les grands groupes financiers et industriels, livrent contre les intérêts et les besoins des citoyens du monde.
En Grèce et en Espagne, le film fait un tour d'horizon des luttes qui soufflent en Europe contre la résignation et les politiques d'austérité. Il s'agit d'un voyage en musique, d’un bout à l’autre de la Méditerranée, à la rencontre de résistances, de terres en luttes et d’utopie.
« Dix ans après les premières émeutes, les médias européens prétendent que la cure d’austérité en Grèce a réussi et que le calme est revenu. Ce film prouve le contraire. À Thessalonique, des jeunes empêchent les ventes aux enchères de maisons saisies. En Crète, des paysans s’opposent à la construction d’un nouvel aéroport. À Athènes, un groupe mystérieux inquiète le pouvoir en multipliant les sabotages. Dans le quartier d’Exarcheia, menacé d’évacuation, le cœur de la résistance accueille les réfugiés dans l’autogestion. Un voyage en musique parmi celles et ceux qui rêvent d’amour et de révolution.
Durant la période d'occupation japonaise de la Corée, Park Yeol (Lee Je-hoon) est forcé de déménager au Japon en 1919 où il monte un plan à l’aide d’un groupe anarchiste nommé Heukdohwe (« Vague Noire »), composé de 14 Coréens et de 5 Japonais, afin d’assassiner le prince héritier Hirohito. Il connaîtra par ailleurs une liaison avec Fumiko Kaneko (Choi Hee-seo ), une nihiliste japonaise.
Du manifeste fondateur de Pierre-Joseph Proudhon en 1840 (Qu'est-ce que la propriété ?) à la chute de Barcelone en 1939, Tancrède Ramonet retrace, en images, un siècle d’histoire mondiale du mouvement anarchiste, du collectivisme libertaire à l'anarcho-syndicalisme, en passant par la propagande par le fait.
Barcelone, 1921. Peu de temps avant le régime autoritaire qui s'emparera du pays, l'Espagne est en crise et de nombreuses villes sont en proie au chaos à cause des affrontements entre hommes armés, voyous, anarchistes et policiers corrompus. Alors qu'un train militaire de marchandises transportant des armes entre en gare de Barcelone, il est aussitôt attaqué et pillé par des hommes armés. Venu de Madrid, le flic Aníbal Uriarte, ancien militaire, arrive en ville pour collaborer avec la police locale et arrêter les auteurs du vol. Alors que la violence s'étend à tout le pays, Uriarte ne trouve pas beaucoup de soutien parmi ses pairs qui le choquent par leurs méthodes illégales et expéditives pour interroger les anarchistes accusés de l'attaque du train. Dans un pays déchiré où la mafia locale et les syndicats se mobilisent, représentés par un certain Salvador Ortiz et sa fille féministe Sara, Uriarte tente à tout prix retrouver les armes dérobées pour empêcher un possible coup d'état et un massacre général.