Amine Bertale est un flic, son nom est ZERO. Mais ZERO ne l’est pas que de nom. Au-delà de ce qualificatif désobligeant, c’est l’incarnation de la vie insensée et vide d’un flic peu ordinaire aux prises avec son alcoolisme et de son complexe d’infériorité ; surtout hanté par des peurs qui trouvent leurs sources dans un passé tumultueux. Fils d’un ancien agent des forces auxiliaires, devenu agressif, presque dépressif parce que cloué dans un fauteuil roulant et d’une mère quasi inconnue, ZERO passe son temps à arpenter les rues et les bars mal famés et bruyant de Casablanca en compagnie de sa seule amie, Mimi, une jeune prostituée. Sa vie de flic encore moins reluisante, se résume à enregistrer des plaintes à longueur de journée et à rendre des comptes à ses supérieurs sur les activités extra, liées à leur vie de mafia. Mais cette vie passive, sans but et raison, lorsqu'elle croise le chemin de Aïcha Baidou à la recherche de sa fille engloutie dans cette ville pervertie par l'argent, connaitra une mutation non pas en celle d'un héros, mais en celle d'un être humain assoiffé de rédemption.
Tanger, ville internationale, dans les derniers instants du protectorat marocain : Aïcha, jeune femme mariée et mère d'un garçon, vit prostrée et silencieuse. Le projet de secondes noces de son époux, homme dévot et traditionnel, lui est insupportable. Afin de conjurer le sort, elle recourt à des pratiques magiques. Mais, elle ôte aussi son voile en guise de protestation. Alors que le pays, en liesse, accède à l'indépendance, Aïcha s'enfonce, quant à elle, dans la dépression...
Une famille maroco–américaine, ayant vécu 25 ans aux États-Unis, est obligée de les quitter après les attentats du 11 septembre 2001. Le retour au pays pose le problème du regard de l'Occident sur la culture arabo-musulmane et d'un conflit familial qui oppose modernité et traditions, à partir des positions de deux générations qui oscillent entre solidarité et éclatement.
À Chefchaouen, au nord du Maroc, la tragique destinée d'Aya, une ravissante jeune femme de vingt ans. Rebelle et insolente, elle ne rêve que de passion amoureuse comme son héroïne Carmen. Et c'est avec Le Baron, un trafiquant de haschich dont elle s'éprend, qu'elle perdra sa virginité. Refusant d'épouser un cousin plus respectable, Aya paiera cher le prix de sa liberté...
Le 3 avril 2004, peu après les attentats du 11 mars 2004 à Madrid, un appartement explose à Leganés avec les auteurs présumés, qui avaient agi ainsi au nom de l’islam. Cinq d’entre eux, presque tous très jeunes, étaient originaires de Tétouan, également la ville d’origine de Zouhair El-Hairan. C’est pour cette raison que le réalisateur y retourne, surpris par le rapprochement établi entre ces attaques, sa ville et sa religion. En s’appuyant sur une série de conversations spontanées avec différents personnages de la ville, Al Hamama établit une réflexion sur la relation des explosions avec l’islam, et sur la motivation des auteurs des attentats.
The film opens in 1994. Yachine (his real name is Tarek), his violent older brother Hamid, and Yachine's friends Nabil (son of Tamou, a local prostitute and singer), pot-smoking Fouad, and Khalil live in extreme poverty in Sidi Moumen, a shanty town on the edge of Casablanca in Morocco. Hamid earns money by acting as a drug mule. The boys steal liquor from Khalil's father's wedding, and Hamid rapes a drunk Nabil in front of the others.
Drifting youngsters under the leaden sky of Tetouan, a city in northern Morocco. Malik, Allal and Soufiane, are desperate petty criminals, who try to flee a life of material and moral poverty. None of them finds a way out: Malik is in love with the prostitute Dounia and to help her accepts working with a corrupt police inspector, Allal pushes drugs and has the police hot on his heels, Soufiane gives vent to his rage by embracing the cause of fundamentalism. The three friends decide to attempt a job in a jeweller’s for a last chance.
This is the first documentary film dedicated to Moroccan cinema; Between Desire and Uncertainty hands the microphone over to the filmmakers and film critics. Besides offering a brief historical approach, this documentary strives to identify the different movements that push Moroccan cinema. Likewise, it also makes very clear the dangers that threaten cinema's evolution.
Az’Az, a smart, cheerful and talented boy, who loves life and freedom. He dreams of having a family. However, in the gloom and the cold of the streets, all he finds is darkness.
Lola (Laura Ramsey) is a female postal worker that dreams of becoming an oriental dancer. After a friend encourages her to perform at a local restaurant, Lola captures the attentions of the handsome Zack (Assaad Bouab). Lola follows after him, but is crushed to find that Zack is to marry someone of his family's choosing. Lola decides to turn all of her energy into making her dreams a reality and tracks down Ismahan (Carmen Lebbos), a reclusive dancing star that retired due to a scandal involving a mysterious lover. Although reluctant, Ismahan is persuaded into giving Lola lessons and a friendship blossoms as a result. In no time Lola becomes a professional level dancer and attracts the interest of Nasser Radi (Hichem Rostom), a famous impresario. He takes her under his wing and under his tutelage Lola gets to dance at the prestigious Nile Tower. During this time Lola discovers that Nasser was Ismahan's lover and that the two were kept apart because of social conventions but also because of their own pride. As Lola's career takes off, she manages to help reunite the two former lovers before returning to New York in order to take the art she loves to her fellow Americans.