Construit autour de nombreuses archives souvent inédites, de caricatures originales de Rita Mercedes (spécialiste de caricatures d’écrivain), de lectures de textes de Camus et Sartre, le film s’écarte des chemins balisés du documentaire-fiction habituel et prend une forme originale qui renouvelle le genre, ce qui n’a pas manqué d’être souligné par la presse [1] : les personnages de Camus et de Sartre sont évoqués par des ombres qui évoluent dans des décors d’époque...
Le film suit l'acteur Philippe Torreton dans son travail de comédien dans la pièce d'Alexandre Griboeidov Du Malheur d'avoir de l'esprit, créée en mars 2007 au Théâtre national de Chaillot. Engagement sur scène et engagement politique, le documentaire nous entraîne aussi dans la campagne présidentielle à laquelle Philippe Torreton participa activement.
Une interview du compositeur Arthur Honegger : peu de temps avant sa mort, il évoque sa jeunesse, ses années de formation, ses rencontres (avec Darius Milhaud et Jacques Ibert), l'avant-garde, ses collaborations et sa vision de l'art.
Le film montre Guy Lafleur dans un train de VIA Rail Canada (commanditaire du film) en compagnie de Réjean Tremblay pour une entrevue sur sa vie, sa carrière de hockeyeur et ses problèmes avec la justice en 2009 pour avoir menti à la cour au sujet de son fils Mark. Le film comprend également une entrevue avec sa femme Lise Barré (l'unique entrevue du film). Au cours de l'entretien, Guy Lafleur raconte sa retraite des Canadiens de Montréal en 1984, ses deux années dans les Nordiques de Québec ainsi que les problèmes de son fils Mark. Le film se termine avec une chanson inédite de Claude Dubois.
Dans ce film en noir et blanc, Marie-Josée Saint-Pierre illustre sa première grossesse et la naissance difficile de son premier enfant. Elle y détaille les conditions dans lesquelles sa fille est née, notamment soins qu'elle et sa fille ont reçu à l'hôpital, l'attitude du personnel et les suites du dépôt de sa plainte contre l'hôpital où elle a accouché.