Quatre militaires allemands sont condamnés pour leur inconduite par le Tribunal disciplinaire et sont incorporés au bataillon 999. Le premier, le Colonel von Bartlitz, Grand Croix de Fer, a sauvé la vie à cinq cents blessés en les sortant de l’enfer de Weschensjaka, alors que les ordres étaient d’abandonner ces hommes à leur sort. Le second, Erik Wiedeck, est un paysan qui a prolongé sa permission sans autorisation pour aider sa femme enceinte à moissonner les blés. Le troisième, Ernst Deutschmann, est bactériologiste. Son erreur a été de tester sur lui-même un nouveau vaccin qui pourrait sauver des milliers d’hommes, mais qui l’a rendu incapable de répondre à l’appel. Enfin, le quatrième, Karl Schwanecke, profitait des alertes pour cambrioler les appartements.
Rodolphe Rassendyll, un touriste anglais, arrive à Strelsau, capitale d'un pays imaginaire d'Europe Centrale, la Ruritanie. Il y rencontre un lointain cousin dont il est le parfait sosie, le prince héritier Rodolphe V. Celui-ci doit être couronné Roi le lendemain, mais à l'issue de la soirée que les deux parents éloignés passent ensemble, le futur souverain ne peut être ranimé : il a bu un vin drogué par une complice de son demi-frère, Michael de Strelsau, lequel escompte se proclamer Régent du Royaume, en l'absence à la Cérémonie du Couronnement de Rodolphe V, puis faire assassiner ce dernier pour accéder ainsi au Trône. Mais deux fidèles du prince légitime, le Colonel Zapt et Fritz von Tarlenheim, font accepter par Rassendyll qu'il joue le rôle de souverain au couronnement, grâce à cette providentielle ressemblance. Les choses se compliquent lorsque Rodolphe V, toujours endormi, est kidnappé le même jour par le mercenaire Rupert de Hentzau ; en outre, Rassendyll tombe amoureux de la Princesse Flavia, promise en mariage au prince héritier.
Un médecin africain (Dr Kara) veut produire un médicament contre une grave maladie, à partir d’un remède traditionnel dont il a reconnu l’efficacité. Au même moment, un trust pharmaceutique européen sort contre la même maladie un remède très coûteux. Koffi, l’assistant désargenté du Dr Kara va le trahir pour servir les intérêts de la multinationale, tandis que Jérôme Blanc, le chercheur – métis – envoyé par la multinationale pour tenter d’acheter le médicament va s’enthousiasmer pour le projet du Dr Kara et l’aider contre son propre patron… Ce d’autant plus que les deux filles du Dr Kara sont fort jolies. Finalement, Jérôme Blanc force son patron à financer la commercialisation du remède à bon marché, au moins en Afrique.
Le film retrace l'histoire des Champs-Élysées, racontée par un instituteur (descendant à la fois de Louis XV, de Marat et de Napoléon Ier), de la place de la Concorde en 1617 à la place de l'Étoile en 1938. Sont notamment évoqués l'assassinat de Concino Concini, les circonstances qui amenèrent Louis XV, las de la marquise de Pompadour, à faire aménager le Parc-aux-Cerfs, l'établissement des premiers théâtres de marionnettes sur les Champs-Élysées, la mort du Bien-Aimé annoncée par celle, survenue six mois auparavant, du ministre Chauvelin, et son enterrement nocturne, les noires heures de la Terreur, la rencontre, fortuite et improbable, entre Bonaparte et Napoléon, celui-ci reprochant à celui-là d'avoir trahi ses idéaux de jeunesse, l'assassinat nocturne de l'inventeur du gaz d'éclairage, les débuts parisiens de Richard Wagner, le retour des cendres de l'Empereur en 1840, le départ de Louis-Philippe pour l'exil, le succès des chansons de Béranger et le triomphe des valses de Métra, un bal à la cour de Napoléon III…
Le film est divisé en épisodes autour de quatre officiers de l'armée de l'air Fabian, Prank, Moebius et Gerdes, parfois individuellement, parfois ensemble.
Le film met en scène le coup d'État du 11 septembre 1973 au Chili, déclenché par le message codé « il pleut sur Santiago », diffusé à la radio à l'initiative des putschistes, à destination des militaires.
The film concerns the relationship between German prisoners of war and local women in the remote Soviet village of Polumgla, located in Archangel province. In the winter of 1944 in Polumgla, the locals consist almost entirely of women, since most of the men have been mobilised to military service.
Ce film a pour titre un slogan qui a fait le tour de la Grèce en crise depuis 2010 et qui commence à voyager au-delà : « Ne vivons plus comme des esclaves », qui se prononce « Na min zisoumé san douli » en grec. Un slogan qu'on peut lire en Grèce sur les murs des villes et sur les rochers des campagnes, sur les panneaux publicitaires vides ou détournés, dans les journaux alternatifs et qu'on peut entendre sur certaines stations de radio et dans les lieux d’autogestion qui se multiplient. Un slogan diffusé jour après jour, et que les intervenants grecs du film invitent les spectateurs à reprendre en chœur, sur les mélodies du film réalisé en coopération avec eux.
Pauline (Valérie Mairesse), a schoolgirl studying for her baccalaureate, wanders into a gallery and recognizes an old friend, Suzanne (Thérèse Liotard), in one of the photographs displayed. Suzanne has two children with the photographer and is expecting a third which she cannot afford to keep. In order to help raise funds for an abortion, Pauline lies to her parents about a school trip, and when they find out, she leaves home and begins working as a singer. The photographer commits suicide and Suzanne moves away to live with her parents on their farm. The two women lose touch for ten years but are reunited at a demonstration in 1972 and begin to correspond by postcard. Pauline, now known as Pomme, moves to Iran with her boyfriend Darius (Ali Rafie), but becomes dissatisfied with her life there and returns to France. Suzanne leaves the farm and opens a family planning clinic in Hyères, where she marries a local doctor.
At a meeting of the Communist Party committee of building trust, taskman Potapov makes a surprise announcement. He and his team refuse to receive the bonus money issued for overfulfillment of plan targets. According to Potapov, the management of the trust regularly artificially lowers targets, due to which the trust can easily overfulfill plan targets. Potapov proves his words with serious economic calculation.
Tourné sur cinq continents durant plus de deux ans, The Fourth World War fait l’inventaire des nombreux mouvements citoyens qui ont pris naissance un peu partout sur la planète, comme pour écrire une nouvelle page d’histoire composée d’actes de résistance au néo-libéralisme. Filmé simultanément aux premières lignes des conflits au Mexique, en Argentine, en Afrique du Sud, en Palestine, en Corée, en Afghanistan et en Irak, mais aussi lors des grands rassemblements de Seattle, de Gênes et de Québec, ce film engagé témoigne des luttes que mènent des hommes et des femmes contre l’oppression, l’injustice et la violence qui leur sont imposées. The Fourth World War traite de cette guerre sournoise que les États, en concomitance avec les grands groupes financiers et industriels, livrent contre les intérêts et les besoins des citoyens du monde.