The film takes place in 19th-century Cuba. Cuban society is split over race, as there are deep divisions between the whites, their black slaves, and the mulattos, people of mixed race, that are caught in between. The story follows Cecilia (Daisy Granados), her experiences with love, and the beginnings of the Cuban slave rebellion.
La Havane, à la fin des années 1970. Teresa, mère de trois enfants, est chef d'équipe dans une usine textile. Elle est également déléguée syndicale et médiatrice culturelle. Ses multiples responsabilités sont difficilement conciliables avec une vie de famille traditionnelle. Elle doit donc affronter les récriminations incessantes de son époux. Or, un jour, à la suite d'une violente querelle conjugale - elle découvre aussi que son mari la trompe -, Teresa refuse de se soumettre et décide de mettre fin à cette situation.
The film tells the story of a pious plantation owner during Cuba's Spanish colonial period. The plantation owner decides to recreate the Biblical Last Supper using twelve of the slaves working in his sugarcane fields, hoping to thus teach the slaves about Christianity.
Deux versions, l'une idéalisée et romantique, proche de l'œuvre anti-esclavagiste d'Anselmo Suárez Romero, et l'autre, de facture réaliste, tendant à questionner la vision de l'écrivain. Le roman traite de l'amour impossible entre deux esclaves poursuivis et torturés par leur propriétaire jaloux.
L'action se déroule à La Havane, dans le nouveau quartier de Miraflores, construit en 1962 pour reloger les habitants d'un bidonville, connu sous le nom des Yaguas. Une jeune institutrice, Yolanda, doit faire face aux problèmes posés par la mentalité et les réticences d'une population jusque-là habituée à vivre dans la marginalité. Elle est aussi amoureuse de Mario, qui fut, un temps, aspirant d'une société secrète et qui, désormais, se construit une nouvelle personnalité dans les brigades révolutionnaires. Au travail, les convictions idéologiques de Mario entrent en conflit avec les comportements de son meilleur ami, Humberto, plutôt hésitant et absentéiste. « Ce conflit, en milieu ouvrier, entre une nouvelle éthique qui se cherche et les anciens modèles culturels est aggravé chez Mario par un autre qui l'oppose à Yolanda, son amie et qui relève, celui-là, du machisme.
Cuba, 1964. Le cadavre de Alberto Delgado est découvert un matin. Qui est réellement ce personnage ? Comment est-il mort ? Une histoire de la vie courante enveloppée d’une atmosphère pleine de mystère et de violence.
Les débuts de la Première Guerre d'indépendance à Cuba : en octobre 1868, dans la province d'Oriente, l'avocat et propriétaire terrien Carlos Manuel de Cespedes organise la rébellion contre la domination espagnole. Les patriotes, retranchés à Bayamo, opposent une farouche résistance à deux colonnes de l'armée coloniale. Manquant d'armes et de munitions, les forces révolutionnaires compensent leur infériorité par l'utilisation des tactiques de guérilla.
Sergio, a wealthy bourgeois aspiring writer, decides to stay in Cuba even though his wife and friends flee to Miami. Sergio looks back over the changes in Cuba, from the Cuban Revolution to the missile crisis, the effect of living in an underdeveloped country, and his relations with his girlfriends Elena and Hanna. Memories of Underdevelopment is a complex character study of alienation during the turmoil of social changes. The film is told in a highly subjective point of view through a fragmented narrative that resembles the way memories function. Throughout the film, Sergio narrates action, and at times is used as a tool to present bits of political information about the climate in Cuba at the time. In several instances, real-life documentary footage of protests and political events are incorporated into the film and played over Sergio’s narration to expose the audience to the reality of the Revolution. The timeframe of the film is somewhat ambiguous, but it appears to take place over a few months.