An honest, religious engraver, Anargyros Loumbardopoulos (Vassilis Logothetidis), has routinely invested his money in gold coins, specifically British gold sovereigns, bought from a friend of his, a banker. Upon having stored away 100 sovereigns, a friend of the banker suggests that Anargyros mints counterfeit sovereigns, but he adamantly refuses. The banker's friend then introduces Anargyros to a lady that he knows. Anargyros' resistance is soon curbed, and he spends all his invested 100 sovereigns to buy minting equipment.
Architect Walter Craig (Mervyn Johns) arrives at a country house party where he reveals to the assembled guests that he has seen them all in a dream. He appears to have no prior personal knowledge of them but he is able to predict spontaneous events in the house before they unfold. The other guests attempt to test Craig's foresight, while entertaining each other with various tales of uncanny or supernatural events that they experienced or were told about. These include a racing car driver's premonition of a fatal bus crash; a light-hearted tale of two obsessed golfers, one of whom becomes haunted by the other's ghost (cut from the initial USA release); a ghostly encounter during a children's Christmas party (another tale cut from the initial USA release); a haunted antique mirror; and the story of an unbalanced ventriloquist (Michael Redgrave) who believes his amoral dummy is truly alive. The framing story is then capped by a twist ending.
Lars von Trier prétend que le court-métrage Det perfekte menneske de Jørgen Leth sorti en 1967 est son film préféré. Dans le but de lui rendre hommage, mais d'une manière perverse, à la fois manipulatrice et créatrice, il propose à l'auteur du film original, son compatriote Jørgen Leth, de détruire et de reconstruire autrement ce court-métrage. Il défie Leth d'en tourner cinq remakes. Pour chaque projet, il lui impose de nouvelles « obstructions », consignes, restrictions, interdictions plus ou moins arbitraires, l'obligeant à repenser l'histoire, l'esthétique et les personnages de son film. Il s'ensuit à chaque épreuve un feed back entre les deux hommes où Lars von Trier, dans une sorte de position de « directeur de conscience », à la limite de l'humiliation, semble prendre à cœur de déconstruire et détruire ce que Jørgen Leth a réalisé.
Despite their reservations, Mr. and Mrs. Garnet allow their promising tennis player son, nineteen-year-old Nicky Garnet, to travel by himself to Monte Carlo to compete in a tournament. Mr. Garnet gives him some advice: never gamble, never lend money, and don't have anything to do with women. On the last night of his stay, he disregards all three: he wins a large amount of money at roulette and meets a beautiful woman named Jeanne, who borrows from him before he can react. Later, she repays him, then takes him dancing at a nightclub.
1/ Une journée décisive de Dino Risi : Raganelli compte bien profiter d'un voyage d'entreprise pour dévoiler sa flamme à Gabriella. Celle-ci se montre réceptive, mais à force de tergiversations et reculades Raganelli va se retrouver entre les bras d'une autre, dont il n'est pas du tout amoureux. 2/ Le Complexe de l'esclave nubienne de Franco Rossi : Apprenant que sa femme à jadis tenu un petit rôle d'esclave nubienne dénudée dans un peplum, le puritain professeur Beozi tente de réparer cet impair en récupérant le film de la scène en question. La scène ayant été censurée, il doit aller le chercher dans les archives de la Censure. 3/ Guillaume « Dents longues » de Luigi Filippo D'Amico : Une chaîne de télévision organise un casting pour sélectionner le nouveau présentateur du journal télévisé. Bertone réussi tous les tests, mais sa denture chevaline pousse le jury à vouloir l'éliminer sans lui en révéler la cause. Bertone se révèle inébranlable.
Génération AMOUR...Au fil des quartiers, des histoires d'amour passager, voilé, mimé, vampirisé, malmené ou révélé...Un Pari(s) moderne émouvant et drôle, un film plein de vie(s) sur le thème de l'Amour.
Portrait de l'actrice britannique Jane Birkin sous forme de collage d'entretiens et de sketches. Un exemple original et recherché de film biographique.
1/ L'elixir du Père Gaucher. Pour sauver l'abbaye de la ruine, le père Gaucher se lance dans la fabrication d'un élixir... Ou est-ce plutôt une liqueur ? 2/ Les ailes du moulin du vieux Maitre Cornille continuent de tourner alors qu’aucun villageois ne lui apporte de blé… D’où viennent donc tous ces sacs de farine ? Vivette révèlera-t-elle au monsieur de Paris, Alphonse Daudet, le secret de son grand-père, Maître Cornille ? 3/ Les trois messes basses. Une nuit de Noël, poussé par le Diable qui a pris les traits de son enfant de chœur, Dom Balaguère escamote les trois messes basses, en vue d'un réveillon parfumé aux truffes…
Les interlocuteurs discutent de sujets aussi variés que la caféine, les glaces à l'eau, Abbott et Costello, les théories du complot contre Elvis Presley, l'art de préparer le thé anglais, les inventions de Nikola Tesla, le groupe rock imaginaire Sqürl, le Paris des années 1920 ou l'utilisation de la nicotine comme insecticide.
The film, like the previous one, consists of short episodes that portray the evil and meanness of Italian middle-class society during the years of lead in the 70s.
Idle Tom Ramsay (Nigel Patrick) continually borrows from his hard-working brother George (Roland Culver). George later puts up the Ramsay estate for sale so he can buy out his business partner, despite Tom's protests. Shortly afterwards, George is approached by car dealer Philip Cronshaw (Peter Graves), who notifies him that Tom has stolen one of his automobiles. To avoid a scandal, George pays for it. However, it was a fraud; Cronshaw and Tom split George's money.