Deux adolescents sont élevés depuis leur naissance dans un coin isolé de la campagne québécoise par un père despotique et misanthrope. Autorisés à sortir du manoir, ils peuvent parcourir la forêt à leur gré, mais le père leur interdit de se rendre au village. La liberté devient dès lors une aspiration à vivre des jours meilleurs pour la jeune fille, alors que son frère tente en vain de contrôler sa libido naissante. Les trois reclus vivent dans une relative harmonie et s'entendent pour repousser les curieux qui s'aventurent près du manoir. Ils ont aussi la charge de nourrir et donner des soins à une chose horrible qu'ils gardent dans la grange. Lorsque le père décède, les deux enfants enfin libres doivent réapprendre à vivre dans un monde qui leur est inconnu. Le frère veut perpétuer les règles du père, mais sa sœur cherche à les transgresser une fois pour toutes. Chacun à sa façon tente d'appréhender la société des hommes, mais leurs modes de vie et de pensées paraissent si étranges qu'ils pourraient en être violemment rejetés.
Pendant que se déroule à Montréal une partie de football sous la pluie, une section du terrain du stade Percival-Molson s'effondre. Baptiste Asigny, un étudiant au doctorat d'archéologie d'origine mohawk, découvre là les traces de ceux qui ont habité l'île de Montréal alors qu'elle était une bourgade nommée Hochelaga.
Vincent, 27 ans, batteur dans un groupe rock amateur, parvient à subtiliser un paquet contenant de la drogue à Darkie et sa bande de dealers. Pris sur le fait, il s'enfuit la fuite dans l'arrière-pays et renoue avec son frère aîné Michel avec qui il a rompu depuis de nombreuses années. Alors qu'il tente de maintenir l'apparence d'une vie normale, il est témoin de la descente aux enfers de Michel.
Entre les années 1970 à 1990, une croyance s'est propagée en Montérégie : le Mont Saint-Hilaire aurait un lien avec les ovnis, allant jusqu’à suggérer qu’il pourrait y avoir une base extraterrestre dans la montagne. D'autres légendes et phénomènes inexpliqués sont associés à la montagne, comme l'idée que le Lac Hertel serait sans fond et que des créatures hors de notre monde y rôderaient la nuit.
Dans un petit village reculé de l'ouest du Québec, les choses ont changé. Les habitants ne sont plus les mêmes - leurs corps tombent en lambeaux et certains se retournent contre leurs proches pour les tuer. Quelques rescapés se cachent dans les bois et se mettent en quête de retrouver d'autres survivants comme eux.
Bien que l’exposition universelle de Montréal de 1967 ait été un des évènements les plus marquants de l’histoire de cette ville au XX siècle, sa réalisation fut un défi de taille pour l’équipe qui l’organisa. L’exposition universelle de 1967 devait initialement avoir lieu à Moscou, mais après le désistement de l’Union Soviétique en 1962, Montréal devient l’hôte de l’événement. Les organisateurs n’ont alors que près de quatre ans pour faire de l’Expo 67 une réalité. La réalisation de l’expo devient une course contre la montre. Le thriller documentaire présente le processus complet de la création de l’Expo : la planification, la construction des îles sur lesquelles l’exposition aurait lieu et des installations, le recrutement de pays qui viendraient présenter à Montréal en 1967, l’ouverture de l’exposition, son succès et sa conclusion. De plus, le film présente la coopération qui a rendu cet événement possible, que ce soit entre des organisateurs de plusieurs générations ou des membres d’équipe québécois ou canadiens anglais.
La vie de Marc bascule lorsqu'Aurélie, l'amie de sa fille, est tuée par une voiture en sortant de chez eux. Non seulement Marc se sent coupable d'avoir dit à Aurélie de rentrer chez elle, car si elle était restée plus longtemps à jouer avec sa fille elle serait encore en vie, mais en plus il est hanté par le regard que la petite fille a fixé sur lui avant de mourir. Cette image intrusive lui rend la vie insupportable au point qu'il développe un état de stress post-traumatique. Refusant d'abord de se soigner, il accepte finalement de suivre une psycho-thérapie qui va profondément le bouleverser.
Objet cinématographique hors normes dédié à la mémoire du cinéaste français Chris Marker, l’auteur du court-métrage La Jetée, La Zone raconte l'histoire d'une femme appelée Madeleine, personnage interprété par Élisabeth Chouvalidzé, qui tente de retrouver le cinéaste Chris Marker. Pour l'aider dans sa quête, elle fait appel aux services de Stalker (Albert Millaire) qui lui fait découvrir une zone très étrange située à l’intérieur de sa mémoire. À l'aube de la Troisième Guerre mondiale, c'est dans cette zone que se cache le cinéaste Chris Marker, masquant sa véritable identité sous un personnage fictif.
Laura (Evan Rachel Wood), une femme de trente ans qui n'a eu que des échecs dans ses rencontres intimes, reprend espoir lorsqu'elle rencontre Eva (Julia Sarah Stone), une jeune pianiste talentueuse de seize ans désillusionnée par la vie que sa mère lui impose.
Cinq ans après les événements de la web série diffusée sur la plateforme Youtube, Carmilla n'est plus une vampire mais une humaine vivante et respirante. L'ancienne vampire semble bien s'adapter à sa nouvelle vie mortelle à Toronto avec sa petite amie, Laura. Cependant, le passé sanglant de Carmilla n'est jamais loin, et finit par les hanter quand Laura commence à avoir des cauchemars liés au passé de Carmilla.
C'est l'histoire de la vie secrète de jeunes filles dans le nord de l'Ontario lors d'un chaud été. L'âge adulte n'est pas encore là, mais l'enfance disparaît.
À Toronto, Jasmine (Natalie Krill) et Dallas (Erika Linder) commencent une histoire d'amour passionnée. Le seul problème, c'est que Jasmine est fiancée à Rile (Sebastian Pigott).