Les musiciens du groupe Madagascar All Stars, les six plus grands noms de la musique malgache, tous habitués aux scènes internationales, s'unissent et créent ensemble “un son” pour Madagascar. Ils se mobilisent pour défendre les ressources naturelles de leur île natale. Filmé à une caméra et sans commentaire, le film les accompagne dans l’intimité de la création, au plus proche de la musique en train de se faire.
Dans les archives de l’orchestre Ribeiro Bastos, a été trouvé une caisse plaine, contenant des documents du XVIIIe siècle complètement oubliés. Ceux-ci dataient, donc, d’une époque où le Brésil était encore une colonie de la couronne portugaise. Enthousiasmé par cette découverte, un jeune musicologue effectue le voyage à la petite ville de São João del Rei, dans l’état brésilien de Minas Gerais, où l’orchestre a son siège. Cet ensemble musical est composé surtout de musiciens mulâtres amateurs dont les ancêtres étaient des esclaves. L’orchestre a une tradition de plus de deux cents ans.
Dans le film, la narration utilise la première personne: c’est le protagoniste lui-même, Malipiero (l’acteur français Philippe Nahoun) qui raconte des moments importants de son parcours existentiel et artistique: « Je me souviens de tout et je cherche cette joie cruelle qui me fait souffrir car elle me transporte dans un monde qui domine ma fantaisie ».
Le film est l’histoire de deux frères. Le plus âgé (Roberto) découvre une manière neuve de représenter la réalité dans le cinéma: le néoréalisme. Le plus jeune, musicien, réalise des commentaires musicaux de cette nouvelle identité filmique. Quand ils sont arrivés à l’âge mûr, ils se rendent compte de l’insuffisance de leur art et ils en tirent, chacun à sa manière, leurs conclusions.
En se servant de la musique, le film effectue un voyage dans la psyché collective de la population napolitaine, de l’époque ancienne jusqu’à nos jours. Deux Napolitains, Tony et Ciro, parcourent en voiture les rues de leur ville, en écoutant pendant leur périple la célèbre chanson “Luna Rossa”. De façon intempestive, la musique est interrompue pour laisser la place à la nouvelle de l’énième délit de la « Camorra ». Les deux hommes se plaignent en disant que leur ville est malade, à l’égal que la Chanson napolitaine qui dort, aujourd’hui, comme le Vésuve.
« Dans le but d’accomplir son développent artistique et son indépendance économique, Palestrina a travaillé, utilisant toujours une grande diplomatie, sous la protection de la puissante Eglise Catholique Romaine. Grâce à son comportement et malgré les règles strictes ecclésiastiques de l’Eglise Romaine, il réussit une véritable modernisation de la musique. »
Le vieil abbé Santini raconte à un jeune chapelain allemand sa vie et l’histoire de sa collection. Le chapelain avait déjà convaincu Santini de la vendre à l’évêque de Münster, en Westphalie.
Projet Sextoy réunit deux films distincts Sextoy Stories et Le Projet Sextoy avec comme fil conducteur Delphine Palatsi dite DJ Sextoy, figure emblématique de la culture techno et du mouvement Pulp, né à l'été 1997. À travers le milieu underground de la scène électronique parisienne des années 1990, Lidia Terki et Anastasia Mordin dessine entre réserve et prestations trash, le parcours de cette personnalité androgyne disparue en 2002 à l'âge de 33 ans.
Une histoire autour des airs d'opérettes de Maurice Yvain. Deux jeunes garçons des Buttes-Chaumont, amis d'enfance, sont amoureux de la même jeune fille.