Biscoton, chef de rayon dans un grand magasin parisien, a très envie d'aller passer un dimanche au bord de la mer avec Marguerite, une charmante vendeuse. Comme il est marié, il annonce à son épouse qu'il doit se rendre aux obsèques de sa vieille tante. Il prend donc un train de plaisir vêtu de deuil, avec une couronne mortuaire à la main.
Ce film déroule une histoire du chemin de fer, depuis les trains à vapeur jusqu'aux années 1930. Sur les routes d'acier loue les services rendus par les cheminots à l'économie française (transport du charbon, de la production agricole...) tandis que défilent des plans d'infrastructures - ponts, tunnels - exaltant la science des ingénieurs ferroviaires. Le corps des cheminots tout entier est salué pour son abnégation et sa rigueur. Le film présente, schéma et graphiques à l'appui, l'organigramme de la SNCF nouvellement créée, avant de se lancer dans la description des œuvres sociales du syndicat des cheminots.
This documentary film opens with WWII war between the Allied forces, comprising America – Australia – Netherlands, under the leadership of Great Britain, fought against the Axis countries of Germany – Japan and Italy. On such super-power Japan, which had been waiting for a long time, expecting an opportunity to materialize its plan of Greater Asia. It's Japan’s dream plan to extend its reign via Singapore, Malaya, Thailand and Burma up to India. On 8th Dec 1941, Singapore fell at the hands of Japan, which had begun the war in the name of Asian independence. Immediately, Japan decided to carry out its plan of Greater Asia. As a first step, Japan planned to lay the Siam – Burma railway line connecting Siam(i.e., Thailand) and Myanmar.
L'action se passe dans le milieu cheminot du Nord de la France. Un conducteur de locomotive électrique est responsable d'un accident qui fait deux morts. Traduit devant le tribunal correctionnel, il subit un choc nerveux qui va bouleverser toute sa vie familiale. Mais tout finira au mieux pour lui, cependant.
Ce train, qui fut un des derniers convois de déportation, transportait initialement 750 déportés. Malgré les obstacles dans une France en cours de libération de l'occupation nazie et la durée inédite de son trajet (54 jours au lieu de 3 jours d'ordinaire) - du 3 juillet à Toulouse au 28 août 1944 à Dachau -, le train est parvenu jusqu'à sa destination finale.