Animal experimentation footage is shown, followed by a video of a man dismembering a female body in a bathtub. It is implied that the man masturbates after the corpse has been sufficiently mutilated. Next, someone browses an extreme porn website, and clicks on the link for "Snuff Fantasy". Images of animals and people (mostly women) being tortured and killed clutter the screen, followed by a video of a pig being stabbed in the throat. A man asks "Until what point are you willing to watch? In other words, what do you want to watch?" A bound, bloodied and crying woman in her undergarments is shown in a washroom. She gets up, moves the shower's curtain, and screams as the door is flung open.
Mike Black Reilly (Stephen Dorff) is an NYPD detective who is called to the scene of a mysterious death in the subway system. The victim, Polidori (Udo Kier), exhibits bleeding from his eyes and other orifices and, by the frozen look on his face, appears to have seen something horrifying before being hit by a train.
Dans une maison isolée, deux cambrioleurs découvrent un homme sauvagement torturé. Décidant de lui venir en aide, ils tombent dans un effroyable piège. Devenus les proies d'un terrifiant psychopathe associant l'horreur au plaisir, ils d'assurent que personne ne leur viendra en aide. Pour eux, mourir est facile, mais survivre est une torture...
Le Mur est un documentaire réalisé en 2011 par Sophie Robert et produit par la société Océan Invisible Productions, en partenariat avec Autistes sans frontières, une association qui milite en faveur d’une prise en charge comportementale éducative des personnes autistes et contre la prise en charge psychanalytique.
Éric Duvivier, neveu du cinéaste Julien Duvivier, fut très tôt initié au septième art. Après la Seconde Guerre mondiale, il entrepris des études de médecine à Paris qu'il finit par abandonner. Passionné de cinéma, il créa en 1947 le Centre international du film médical qui organisa la même année le premier Congrès international du film médical au palais de la Mutualité à Paris.
La réalisatrice, déjà auteure d'un documentaire sur les psychanalystes produit en 2011, réitère ici « sa déclaration de désamour à l'endroit des freudiens et des lacaniens ». Elle interviewe dans ce documentaire 18 psychanalystes, Richard Abibon, Jacques André, Patrick Avrane, Yann Bogopolski, Emeline Caret, Guidino Gosselin, Jean-Michel Hirt, Eric Laurent, Marie-Christine Lasnik, Christine Loisel-Buet, Aldo Naouri, Claude Parchlinak, Gérard Pommier, Jacqueline Schaeffer, Esthela Solano-Suarez, Alexandre Stevens, Monique Schneider et Jean-Pierre Winter. Le film évoque, selon la documentariste, « la vision sexiste de la psychanalyse », indiquant que , « une valeur centrale [de la psychanalyse] est que le sexe de la femme n’existe pas, c’est simplement un trou ». Sophie Robert, selon Gilles Durand dans 20 minutes, « dénonce les dérives sectaires et la manipulation mentale de certains psychanalystes ».