L'Afrique n'est que mensonge. Avec obstination, les Africains refusent de voir la vérité en face. Le sida n'est pas une maladie inventée par les Blancs pour anéantir les Noirs. De plus,qui se cache derrière les interminables guerres fratricides qui détruisent le continent millénaire ? Les Blancs ou les Noirs eux-mêmes ? Ce film pose un regard sur cette Afrique qui refuse l'évidence. La parole, essence même de toutes les cultures du continent noir, est enfin libérée. Aujourd'hui elle est essentielle : question de vie ou de mort. L'Afrique se meurt du sida, des guerres, des maladies, de la misère. La question essentielle aujourd'hui est de savoir si l'Afrique se relèvera de ces fléaux comme elle a toujours su le faire.
The city of Dakar grows at an infernal pace. Everywhere buildings are being constructed. Occasionally, the deafening noise of the planes disturbs the stillness of the birds that stay on the top of the buildings; they take off and fly back to rest. Africa wants to develop itself at all costs; but we do not need to lock ourselves inside buildings, since the sun shines almost all year round.
The film is set in a colourful Burkina Faso village dotted with termite mounds, and a mosque made from clay that resembles a gigantic hedgehog. The village is a symbol of green Africa, a time capsule that nonetheless is not immune to the influences of the outside and ‘modern’ world.
After two pregnancies out of wedlock, Faat Kiné has earned a place for herself as a successful gas station owner in patriarchal Senegalaise society, raising her two children alone and providing fully for their needs.
En 1810, des centaines d'esclaves se retrouvent à bord d'un bateau négrier qui relie le Sénégal à l'Europe. C'est pour eux le début d'une terrible traversée. Arrivés à destination, les esclaves découvrent leurs conditions de vie déplorables.
Le film retrace le parcours de Valdiodio N’Diaye, avocat et ministre du gouvernement sénégalais injustement oublié par l’histoire du fait de sa rivalité avec Senghor, et le récit de sa lutte pour l’indépendance des pays africains et du Sénégal en particulier.
Modou jeune villageois de douze ans, est un talibé (élève de l'école coranique) dans l’école coranique de Maître Serigne. L’enseignant vit de la mendicité de ses petits disciples en espérant des jours meilleurs. Après avoir fugué de cet enfer une première fois, Modou est ramené à Serigne par son propre père.
In Dakar, selling newspapers on the street is an occupation always occupied by boys. But one morning, Sili, a young beggar, challenges that exclusive rule. Her age is uncertain, between 10 and 13, and she walks the streets with the help of her crutches. She begs for help in the same spot the boys sell their papers, but today they attack her and she falls, rolling over and over. That’s it; she too will sell newspapers starting tomorrow.
Qui était Léopold Sédar Senghor ? Parce qu'il a hanté la jeunesse du cinéaste, parce qu’il a fait de la négritude une affaire d'État, parce qu'il a toujours défendu la langue française, le dirigeant et penseur sénégalais a donné à Samba Félix Ndiaye l’envie de percer ses secrets. Pour cela, le réalisateur a réveillé ses souvenirs et ceux de ses proches et il a interviewé les habitants du village natal de Léopold Sedar Senghor. Finalement, le film est une évocation poétique et originale d’une figure incontournable de l’Afrique du XX siècle.
Mossane (Magou Seck) is a beautiful 14-year-old girl from a rural Serer village, beloved by many including her own brother and Fara, a poor university student. Although she has long been promised in marriage to the wealthy Diogaye, Mossane defies her parents' wishes and falls in love with Fara. On her wedding day, she refuses to marry Diogaye and tragedy ensues.
Marigo the musician dreams with his instrument – a congoma – confiscated by his landlady because he never pays the rent. He gets hold of a lottery ticket and decides to put it in a safe place while he waits for the draw: he glues it to the back of his door. The night of the draw, fortune blinds Marigo, he is the proud owner of the winning ticket. He already sees himself as a millionaire, with a thousand congomas, an orchestra and a private plane… He even has visions of the charismatic Aminata Fall, symbol of capitalism in Africa. But there is small problem; the ticket is glued to the door…
A glimpse into Ismaël Lô's musical universe. Shot during one of his tours, this peregrination into Africa's heart directed by Mansour Sora Wade will take us to the sources of his music.
Hyènes (Hyenas) tells the story of Linguere Ramatou, an aging, wealthy woman who revisits her home village of Colobane. Linguere offers a disturbing proposition to the people of Colobane and lavishes luxuries upon them to persuade them. This embittered woman, "as rich as the World Bank", will bestow upon Colobane a fortune in exchange for the murder of Dramaan Drameh, a local shopkeeper who abandoned her after a love affair and her illegitimate pregnancy when she was 16.
Parlons Grand-mère est un court métrage documentaire sénégalais de 1989. Djibril Diop Mambéty a suivi et filmé le tournage de Yaaba, le deuxième long métrage d'Idrissa Ouédraogo. Un documentaire bourré d'anecdotes humoristiques sur les dangers du tournage de films au Burkina Faso.
Des tirailleurs sénégalais venus des colonies de l'Afrique-Occidentale française, anciens combattants de l'armée française et prisonniers en Europe durant la Seconde Guerre mondiale, sont rassemblés avant leur démobilisation en novembre 1944 au camp de transit de Thiaroye au Sénégal. Soumis à divers humiliations, ils apprennent enfin que le montant des indemnités et pécule qui doit leur être payé (arriéré de solde, pécule, prime de démobilisation) sera divisé par deux.