Parlons Grand-mère est un court métrage documentaire sénégalais de 1989. Djibril Diop Mambéty a suivi et filmé le tournage de Yaaba, le deuxième long métrage d'Idrissa Ouédraogo. Un documentaire bourré d'anecdotes humoristiques sur les dangers du tournage de films au Burkina Faso.
Ousmane est un jeune mendiant talibé qui parcourt la ville de Dakar avec son bol. À chaque rencontre il réussit habilement à recevoir une pièce tout en redonnant le sourire à ses généreux donateurs. C’est alors qu’il décide après être entré dans un magasin de jouets, d’écrire au Père Noël pour exaucer chacun des vœux des personnes qui lui ont accordé la charité. Ne sachant ni lire, ni écrire, comment fera t-il ?
El Hadji Abdoukader Beye, a Senegalese businessman, takes on a third wife, thereby demonstrating his social and economic success. On the wedding night he discovers that he is incapable of consummating the marriage; he has become impotent. At the beginning, he suspects his two wives, without realizing that he walks by the true guilty party every day. The film criticizes the African leaders' attitude after Independence, underlining their greed and their inability to step away from foreign influences.
In Senegal, sometime after the establishment of a European presence in the area but before the imposition of direct French colonial administration, the Ceddo ("commoners") try to preserve their traditional culture against the onslaught of Islam, Christianity, and the slave trade. When local king Demba War sides with the Muslims, the Ceddo abduct his daughter, Dior Yacine, to protest their forced conversion to Islam. After trying to rescue the princess, various heirs to the throne are killed, and Demba War is killed during the night. Eventually the kidnappers are killed and Dior Yacine is brought back to the village to confront the imam, just as all the villagers are being given Muslim names.
Marigo the musician dreams with his instrument – a congoma – confiscated by his landlady because he never pays the rent. He gets hold of a lottery ticket and decides to put it in a safe place while he waits for the draw: he glues it to the back of his door. The night of the draw, fortune blinds Marigo, he is the proud owner of the winning ticket. He already sees himself as a millionaire, with a thousand congomas, an orchestra and a private plane… He even has visions of the charismatic Aminata Fall, symbol of capitalism in Africa. But there is small problem; the ticket is glued to the door…
Au Sénégal, la lutte est un sport très populaire. Nalla et Sory vont participer à son univers, mais proviennent de mondes différents. Nalla, dix-sept ans, est issu d'une famille aisée de Dakar et, par l'intermédiaire d'André, qui le défend lors d'une agression, est poussé à s'investir dans ce sport. Sory, vingt-cinq ans, revend des billets d'entrée dans les arènes pour le compte d'une bande mafieuse. Deux itinéraires, pour découvrir la lutte de l'intérieur et de l'extérieur.
Ramata is a spellbindingly beautiful woman in her fifties. She has been married for thirty years now to Matar Samb, a former prosecutor who is now the Minister of Justice. They live in Les Almadies, an elegant neighbourhood of Dakar. Ngor Ndong is 25. He is a young, strong, mysterious man with no fixed residence and an occasional petty crook known by the police. One evening, in a taxi that Ngor Ndong just happens to be driving, Ramata agrees to follow this young man to the Copacabana. She then begins a new life.
En 1810, des centaines d'esclaves se retrouvent à bord d'un bateau négrier qui relie le Sénégal à l'Europe. C'est pour eux le début d'une terrible traversée. Arrivés à destination, les esclaves découvrent leurs conditions de vie déplorables.
Oualata, la ville rouge à l’extrême est du désert mauritanien. Dans cet îlot, éphémère rempart contre les sables, trois femmes pratiquent la peinture traditionnelle en décorant les murs des maisons de la ville. Dans une société apparemment dominée par la tradition, la religion et les hommes, ces femmes s’expriment avec une surprenante liberté sur leur manière de percevoir la relation entre les hommes et les femmes.
A glimpse into Ismaël Lô's musical universe. Shot during one of his tours, this peregrination into Africa's heart directed by Mansour Sora Wade will take us to the sources of his music.
The albatross smiled from the sky/ These were the last souls sacrificed to the sea / Years later, their bodies reached the shore. A young illegal immigrant writes to his mother. He tells her of the torments he and his friends endured during weeks after they attacked the great blue. They departed from Senegal towards Spain in an open boat with 54 souls aboard, but the boat started to drift towards the American continent. It reached Barbados with only eleven passengers, all dead.
Lors de sa présentation au concours de l’Ecole Supérieure de l’Administration, Sogui se heurte avec fracas aux visions du monde de ses examinateurs. Fortement affecté, il ressort combatif et fougueux de cette expérience particulière et franchit ainsi la frontière perméable de l’illégalité, où il rejoint son ami Max et le milieu de la pègre. Mais il retrouve également Samba, son ami d’enfance qui mène la vie simple et fragile d’un vendeur ambulant...
C’est l’histoire de deux communautés, l’une malienne et l’autre catalane, qui vivent ensemble depuis huit ans, sans s’être jamais adressé la parole. Deux communautés qui se croisent comme des ombres. C’est un film sur la peur de l’autre, de l’étranger. La mise en image d’un tour où ces deux communautés se sont rencontrées.
Née à Sokone en 1926, Annette Mbaye d’Erneville, la mère du réalisateur William Mbaye, fut la première journaliste du Sénégal. Elle s’est très tôt sentie concernée par le développement de son pays. Militante de la première heure pour la cause de l'émancipation des femmes, elle est à la fois une pionnière et une anti conformiste. Elle a partagé sa vie entre la France, où elle a étudié, et le Sénégal, où elle est retournée en 1957, pressentant que le temps de l’Indépendance était arrivé.