Le film Gentilly Or Not to Be pose la question suivante aux défenseurs du nucléaire et à ses détracteurs : au-delà des risques d’accidents et de gestion de déchets irradiés, quels sont les impacts du nucléaire sur la santé humaine? Les réalisateurs se demandent aussi s'il est préférable "d'aller de l’avant avec la réfection de Gentilly-2, ou bien profiter de l’occasion pour se tourner vers des sources d’énergie alternatives".
L’actrice et réalisatrice Paule Baillargeon retourne au pays de son enfance : l'Abitibi. Sur la route de Montréal à Val-d'Or, des instants qui ont marqué son existence resurgissent dans sa mémoire. À travers cet autoportrait hybride, Baillargeon raconte le parcours d’une femme, d'une féministe, d'une mère, d'une artiste.
À travers une rencontre intimiste supportée de séquences vidéo et d'images d'archives, le document nous présente le rôle marquant de ce chevalier de l'indépendance dans l'évolution du mouvement indépendantiste au Québec des années 1960.
Chers électeurs documente le quotidien de deux députés du parlement québécois. Pendant près de quatre années, de 2003 à 2006, le réalisateur Manuel Foglia a suivi le député Daniel Turp, député péquiste de Mercier, et Charlotte L'Écuyer, députée libérale de Pontiac, qui ont tous deux été élus au pallier provincial pour la première fois en 2003. Turp ayant été député pour le Bloc québécois de 1997 à 2000 .
L'Illusion tranquille cherche à mettre en perspective les causes réelles et profondes des malaises sociaux et économiques du Québec : culture des acquis, monopoles d'État et syndicaux, discours idéologique qui masque des intérêts corporatistes. Il remet en cause et critique sévèrement les fondations du temple québécois :
Octobre, 1995. Les souverainistes québécois sont au seil de leur pays et le Canada tout entier est sous le choc. Le pays que dirige Jean Chrétien est sur le bord d'éclater. Les derniers sondages placent le oui en avance pour la première fois. Il y a à peine un mois, c'était un scénario presque impensable. Ceux qui ont connu cette page d'histoire ne l'oublieront jamais
Moi, Robert « Bob » jette un regard intimiste sur un homme confronté à la dureté de la vie politique. Vue unique et privilégiée du monde fermé des machines électorales, ce documentaire, en forme de portrait, se veut une réflexion sur l’image que projettent les politiciens d'aujourd'hui.
À hauteur d'homme est un film documentaire québécois, réalisé par Jean-Claude Labrecque, sorti en 2003. Le film relate la campagne électorale (province de Québec, Canada) du chef du Parti québécois et Premier ministre du Québec, Bernard Landry en 2003. Tourné en vidéo légère, il présente le quotidien de l'homme politique et de son équipe en plus d'offrir un regard éclairant sur le rapport entre politique et médias. À hauteur d'homme, au moment de sa réalisation, demeure le seul documentaire permettant d'observer avec indépendance et rigueur non-partisane un chef de parti politique en campagne électorale; Bernard Landry ayant donné carte blanche au réalisateur, tant au tournage qu'au montage du film. Le résultat s'inscrit dans la tradition du cinéma direct québécois et s'avère une œuvre sans complaisance envers son sujet : le travail de l'homme politique et le rapport des médias à son égard.
It analyzes the place of Quebec Premier Adélard Godbout in history. Godbout is not well-considered by Quebec historians and citizens. Adérald Godbout was the Second World War–era Quebec head of government, and the great-uncle of the director. Godbout advances some theories to explain why his great-uncle was forgotten in the collective memory of the Quebecers. One theory is that Adélard Godbout was more favourable than other political leaders to conscription. Quebec nationalists, at the time, opposed conscription, which they saw as a British imperialist manoeuvre of English Canada to defend the Empire.
Les membres du Front de libération du Québec tels que Pierre Vallières, Charles Gagnon, Francis Simard et Robert Comeau échangent sur leur militantisme au début des années 1970. Plus de vingt ans après cette période agitée d’affirmation nationale au Québec, le récit de leurs visées sociale et politique, émaillé de films d’archives et de chansons de Plume Latraverse, montre comment l’enjeu de la liberté d’une nation est et peut demeurer incontournable.
It chronicles the immediate aftermath of the fall, in 1990, of the Meech Lake Accord, and its effects on the Quebec society and Quebec nationalism. It is set during the Bélanger-Campeau commission (a public hearing to determine the way to choose for Quebec regarding its autonomy), before the Parti Libéral du Québec (in power, traditionally in favor of autonomy within Canada and co-instigator of the Accord with the Progressive Conservative Party of Canada) formally closed the door to independence in the light of the death of Meech Lake and the departure of some Liberal nationalists to create the ADQ. The title means The Black Sheep, referring to Quebec and its difference coupled with a perceived ostracism by Canada, notably through its rejection of the Accord that would have recognized this difference.