Le film se déroule dans les années 1940 au Québec à Black Lake (maintenant Thetford Mines). Dans les villages de cette taille, le magasin général est le pôle d’attraction et le lieu d’échanges de toute la communauté. Les habitants s'y réunissent donc la veille de Noël. Gérant du magasin, l’oncle Antoine, avec son humour et ses gorgées de gin, anime les lieux sous l’œil intéressé de son neveu Benoît (15 ans), qui est orphelin et qui vit chez son oncle.
Jean St-Pierre, 34 ans natif de Chicoutimi, (Donald Pilon) et Émile Ste-Marie, 24 ans natif de Montréal, (René Blouin) vivent en exclusion de la société dans les bois depuis plus d'un an et demi. St-Pierre est un ancien bûcheron, un métier qu'il a commencé à l'âge de 11 ans. Ste-Marie est un ancien étudiant et fut également chauffeur de taxi et laveur de vaisselles.
Réginald «Red» Mckenzie (Daniel Pilon) est un Métis autochtone, fils d'un père Canadien-français défunt et d'une mère algonquienne. Red est un voleur de voiture, pickpocket et séducteur envers la gent féminine. Il arbore un style de vie à la américaine au grand désarroi de sa mère c'est-à-dire qu'il conduit une décapotable, porte des complets et vit en ville. L'univers de Red bascule lorsque celui-ci est injustement accusé du meurtre de sa demi-sœur. Il est pourchassé à la fois par la police et par ses demi-frères qui veulent venger leur sœur. Il part se réfugier dans une réserve indienne où il est d'abord froidement accueilli puis finalement reconnu comme un des leurs. Assoiffé de vengeance, il repart vers la ville dans le but de tuer le véritable meurtrier.
En 1997, l'utilisation de produits cosmétiques cause la mort de millions de femmes. Antoine Rouge, qui a découvert la maladie, disparaît sans laisser de traces. Dans sa clinique les patientes atteintes développent de mystérieux organes...
Le film (en noir et blanc) joue sur la double énonciation audio et image, l'un n'étant relié à l'autre que par le sujet, et par association d'idées (sorte de mise en abyme du thème de la télépathie). En effet, à l'image ne correspond aucun son: ni dialogue, ni bruits. Seule des voix en alternances récitent un texte expliquant une expérience scientifique assez complexe, étant le fruit de nombreuses recherches en télépathie, avec une approche sexuelle et ésotérique. L'aspect scientifique est fortement mis en avant dans la forme du film, insistant sur le rapport entre le chercheur et le patient, mais reste in-crédible (presque fantastique), c'est donc dans la vision que le film fait de l'homme et notamment des relations sociales que réside le principal message du film.
The film begins with Keaton, playing an unnamed English gentleman, reading a newspaper in London, England. A full-page ad proclaiming "SEE CANADA NOW!" catches his attention. He promptly throws the newspaper away and jumps into the Thames. He subsequently reemerges on the east coast of Canada (at Lawrencetown, Nova Scotia), having apparently swum across the Atlantic, where he is greeted by a sign indicating the direction to the other side of Canada, 3,982½ miles away.
Avec Buster Keaton est un documentaire de 1965 sur le tournage du film The Railrodder (avec Buster Keaton), également tourné en 1965. Bien qu'il ne s'agisse que d'un documentaire de production, ce film est en fait plus long que The Railrodder, qui ne dure que 24 minutes. Les deux films ont été produits par l'Office national du film du Canada.
Avec Buster Keaton montre des extraits de précédents films de Keaton, Butcher Boy (1917), The frozen north (1922), Seven Chances (1925), et le mécano de la Générale (1927). Le film a été réalisé par John Spotton et narré par Michael Kane.
Two men, Jean-Paul Ladouceur and Grant Munro, live peacefully in adjacent cardboard houses. When a flower blooms between their houses, they fight each other to the death over the ownership of the single small flower.
Taking place in Quebec City, the film tells the story of a lawyer and a patron of the arts, Albert Frédéric, who, earlier in life, caused a murder and made it look like an accident for financial gain.