Élise s'ennuie à Bordeaux. Elle a l'impression de ne pas vivre la vraie vie. Elle monte à Paris rejoindre son frère Lucien. Il est ouvrier et sympathisant du FLN. Bientôt, Élise est poussée par la nécessité à travailler en usine. Elle y rencontre et se lie avec Arezki, un militant algérien. Leur liaison amoureuse est rendue difficile par le racisme environnant et, de surcroît, dangereuse en raison d'une étroite surveillance policière. Lucien meurt. Quand Arezki est arrêté, Élise retourne à Bordeaux.
C'est un film de fiction historique : Dans l'Algérie coloniale, un indigène s'engage dans l'armée française après que des colons ont assassiné les siens le jour de son mariage. Il est muté par la suite en Indochine.
Le film Fort du fou narre, non sans nostalgie pour la période coloniale, l'abandon - durant la guerre d'Indochine - de réfugiés tonkinois catholiques par une armée française impuissante.
In 1911, a willful and determined man from peasant stock named Charles Saganne (Gérard Depardieu) enlists in the military and is assigned to the Sahara Desert under the aristocratic Colonel Dubreuilh (Philippe Noiret). Saganne attracts the attentions of Madeleine (Sophie Marceau), the daughter of the regional administrator. In the Sahara, Saganne earns the respect of the Arabs, including Amajan, an independent warrior. After several campaigns, Saganne travels to Paris on a diplomatic mission. After having an affair with a journalist in Paris, Saganne returns to Africa, where he leads a valliant defense against Sultan Omar. He is awarded the Grand Cross of the Legion of Honour, and marries Madeleine. The onset of World War I puts his success and happiness at risk.
Alors qu’il tente par tous les moyens de rester en dehors des bouleversements sanglants provoqués par la bataille d’Alger, Hassan, père de famille intègre et naïf, offre sans le savoir, l’hospitalité à un moudjahid activement recherché par l’armée française.
Le capitaine Leblanc, officier de la Légion étrangère, est chargé de conduire un groupe ayant pour objectif de capturer Ben Bled, un responsable FLN. La première partie de l'opération réussit, mais le retour se révèle d'autant plus difficile que la situation politique a évolué en raison des pourparlers de paix.
À l'issue de la Seconde Guerre mondiale sur le front de l'Ouest, les manifestations pour l'indépendance de l'Algérie deviennent de plus en plus fréquentes en Algérie jusqu'aux massacres de Sétif, Guelma et Kherrata, dans le Constantinois, à partir du 8 mai 1945. Les scènes finales évoquent le massacre du 17 octobre 1961 à Paris.
Ce film documentaire est sorti à l’occasion du cinquantenaire des événements survenus au moment et après la manifestation pacifique des Algériens du 17 octobre 1961 à Paris durant la guerre d'Algérie, organisée par la Fédération de France du FLN en réaction à un couvre-feu institué par le préfet de police Maurice Papon pour les seuls Algériens favorables à l'indépendance de leur pays. La manifestation pacifique sera très sévèrement réprimée par les forces de l'ordre dont le nombre de victimes est estimé entre 80 et 200 morts. Les cadavres seront, pour certains, retrouvés flottant dans la Seine.
The film begins in North Africa where large numbers of indigènes (French Algerian Tirailleurs as well as Tunisian or Moroccan Goumiers) have been recruited into the French First Army of the Free French Forces, that has been formed to liberate France of the Nazi occupation in World War II.
In 1930 marked by growing anti-colonial unrest, Éliane Devries (Catherine Deneuve), a single woman born to French parents in colonial Indochina, runs her and her widowed father's (Henri Marteau) large rubber plantation with many indentured laborers, whom she casually refers to as her coolies, and divides her days between her homes at the plantation and outside Saigon. After her best friends from the Nguyễn Dynasty die in a plane crash, she adopts their five-year-old daughter Camille (Ba Hoang, as child). Guy Asselin (Jean Yanne), the head of the French security services in Indochina, courts Éliane, but she rejects him and raises Camille alone giving her the education of a privileged European through her teens.
Between 1946 and 1954, more than 60,000 African soldiers were sent to the Far East to fight against the Viet Minh. Many unions between Vietnamese women and African soldiers took place, and children were born, Some stayed with their mothers, but others were taken back to Africa. Through the story of Christophe, a 58-year-old Afro-Asian, Idrissou Mora-Kpai not only tells the story of these children of mixed heritage, but also the unnatural fight in which colonized Africans stood against the Vietnamese who were fighting for their independence.
Rescapés de la guerre d'Algérie et réfugiés dans des camps tunisiens, des enfants algériens témoignent, à partir de dessins qu'ils ont eux-mêmes réalisés, des événements tragiques qu'ils ont vécus. Projeté clandestinement, saisi dix-sept fois et censuré pendant douze ans, un film majeur sur la guerre d'Algérie.
The documentary describes the life of a Moroccan woman employed as a prostitute in a military brothel by the French Colonial Army who took part in the Indochina War. Past 70, Fadma says she agreed to do the documentary so that France would recognize her as they do their veterans: "I too took part in the war".
Algérie, avril 1961. Tandis que quatre généraux de l’armée française s’emparent du pouvoir à Alger, voici l’évocation, au travers d'un récit choral, d’une poignée de destins croisés, emportés dans la tourmente et la violence inéluctable de l’Histoire. Jacquot, jeune appelé, est brusquement confronté à l’horreur de la guerre. Thomas, fils de colon et photographe boiteux, rêve de l’OAS Et alors que Sarah, favorable à l’indépendance, tente de fuir les démons qui la hante depuis cette bombe posée dans un café quelques années plus tôt, Malika, elle, rejoint les rangs du FLN et son amoureux Ali.