Le cinéma de Guy Debord, associant images detournées et commentaires off, prolonge le refus critique du spectacle developpé par l'auteur dans ses livres et dans son activité au sein de l'Internationale situationniste. Le titre est un palindrome.
Il s’agit d’un documentaire entièrement tourné avec un téléphone portable, pour le Forum des images. Cette œuvre pose la question de l’avenir du langage cinématographique.
The film features interviews with Perry and her loved ones documenting the trajectory of her life, containing various clips from her childhood and teenage years as well as her career and personal life (ranging from December 1999 to March 2012). The film is spliced with performances from her worldwide California Dreams Tour, which had 127 concerts from February 20, 2011 to January 22, 2012. Most of the performances were recorded on November 23, 2011, at the Staples Center in Los Angeles, but also included performances in Tokyo and São Paulo. Some of her friends such as Rihanna, Lady Gaga, and Jessie J make cameos in the film. The documentary includes scenes of Perry dealing with the breakdown of her marriage with English actor/comedian Russell Brand.
Desplechin filme son père, son frère Fabrice et ses neveux dans la maison familiale de Roubaix à la veille de la vente de celle-ci. Le film est la deuxième expérience « documentaire » du cinéaste après le travail sur Léo, en jouant « Dans la compagnie des hommes » et Unplugged, en jouant « Dans la compagnie des hommes ». Le film contient de nombreux éléments de repère permettant de décoder les autres films du cinéaste (La Vie des morts ; Léo, en jouant « Dans la compagnie des hommes » ; Esther Kahn, etc.). Il fournit ainsi diverses clefs (maison familiale, architecture urbaine, cimetière, conversation entre père et fils, etc.) facilitant l'accès à son univers cinématographique et biographique.
Automne allemand 1977, la Fraction armée rouge (RAF) terrorise la République fédérale d’Allemagne pour libérer ses figures historiques. Deux célébrations de funérailles à deux jours d'intervalle à Stuttgart ponctuent le récit. La première est l'enterrement du patron des patrons, exécuté par les terroristes de la RAF après la nuit de la mort de leurs leaders retrouvés suicidés dans leurs cellules de Stammheim quelques heures après l'annonce de la libération des otages du détournement du Landshut. La seconde est l'enterrement des suicidés de Stammheim sous haute surveillance policière. Dix réalisateurs du nouveau cinéma allemand témoignent de cette accélération des événements en mettant en scène des fictions et courts documentaires historiques pour restituer le climat de terreur quotidienne inspirée par la RAF tout en s'interrogeant sur la pression étatique nécessaire à la traque de terroristes dans un pays démocratique.
Comme son titre l'indique le film retrace la vie du dictateur Nicolae Ceaușescu. Il s'agit d'archives officielles largement inédites, mises bout à bout retraçant l'ensemble de la carrière de l'homme politique.
En utilisant des figurines d'argile et des images d'archive, Rithy Panh témoigne des atrocités commises par les Khmers rouges au Cambodge entre 1975 et 1979.
At his dying father's bedside Rachid B. recalls his strongest memories from his childhood in Morocco to recollections of his homosexuality and rejection of Christianity, right up to his recent conversion to Islam.
À partir de son journal intime filmé en vidéo entre 1994 et 2005, Alain Cavalier nous invite avec humour et sensibilité à une méditation sur la vieillesse, la vie, la mort...
Instants de vie, éclats d’images, il compose une mosaïque où le spectateur est invité à trouver sa place par-lui-même.
Dans ce film, le photojournaliste de l'agence Magnum, filmé en gros plan, présente et raconte ses documents et souvenirs photographiques de 1957 à 1977, c'est-à-dire les vingt premières années de son travail photographique, depuis ses premiers clichés dans la ferme de ses parents jusqu'aux films sur le Tchad. Réalisé en 1983, il est sorti en 1984 et a reçu le Prix des Rencontres d'Arles cette même année.
The film looks at the relationship between Polley's parents, Michael and Diane Polley, including the revelation that the filmmaker was the product of an extramarital affair between her mother and Montreal producer Harry Gulkin. It incorporates interviews with Polley's siblings from her mother's two marriages, interviews with other relatives and family friends, Michael Polley's narration of his memoir, and Super-8 footage shot to look like home movies of historical events in her family's life. The cast in the Super-8 re-creations includes Rebecca Jenkins, who plays Diane – who had died of cancer, on January 10, 1990—the week of Polley's 11th birthday.