Rob Kuhns interviews a range of authors, critics, and filmmakers about the impact, legacy, and enduring popularity of Night of the Living Dead. Romero describes the film's background, production, and distribution, including how it accidentally fell into the public domain. Fessenden describes Night of the Living Dead 's aspects of postmodernist film, including an early commentary on horror films inside of a horror film – Johnny's taunting of his sister, Barbra, in the opening graveyard scene. Hurd cites the film as an influence on her own work as executive producer of The Walking Dead. Mitchell, among other things, describes how the film presents a strong Black male as the protagonist of a film without resorting to racial commentary. The final scene, in which Duane Jones' character, Ben, is killed by a posse is compared to historical footage of 1960s lynch mobs and police brutality, and scenes of violent zombie attacks are compared to footage from Vietnam broadcast on television.
C’est un documentaire en hommage à Jacques Demy et à son oeuvre Les Demoiselles de Rochefort, film qui fut tourné pendant l'été 1966. La ville de Rochefort organisa une grande fête en 1992 pour célébrer les 25 ans de la sortie du film en 1967. Profitant de l’occasion Agnès Varda a tourné ce documentaire en mêlant des plans du tournage de l’époque en 1966 par Varda elle-même, des extraits, des interviews d’acteurs et figurants Rochefortais qui ont participé au tournage du film.
The documentary follows American director, Jim Wynorski, in his attempt to make a film in three days. By cutting shooting schedule, crew, equipment, and food, Jim tries to eliminate any unnecessary limitations that would slow down production.
The documentary chronicles the making of Emily Hagin's feature-length zombie film Pathogen. The film, which took Hagin two years to complete and screen, was met with several setbacks during its filming due to elements such as theft of property. During the filming of Zombie Girl, the directors noted Hagin's growth as a fledgling director, as she was twelve at the time Pathogen was made.
Abbas Kiarostami reprend le dispositif de son film Ten sorti en 2002 : une voiture circulait dans les rues de Téhéran, avec deux caméras fixées sur le tableau de bord, une filmant la conductrice et l'autre filmant le passager. Dans 10 on Ten, une seule caméra filme le conducteur qui se trouve être Kiarostami lui-même. En roulant au travers de la campagne iranienne, il évoque devant le spectateur la réalisation de Ten. Ceci est le point de départ d'une réflexion plus générale sur le processus de création du réalisateur, son rapport au documentaire, au sujet filmé, aux caméras numériques et à l'industrie du cinéma.
The film consists of a series of interviews conducted by William Shatner, who portrayed Captain James T. Kirk in the original Star Trek with the various other actors who have portrayed Star Trek Captains: Sir Patrick Stewart, Avery Brooks, Kate Mulgrew, Scott Bakula and Chris Pine. The Captains delves into each actor's life and career leading up to their film or television performances. The film devotes attention to Shatner's own acting roots, tracking his journey from his beginnings at the Stratford Shakespeare Festival and CBC Radio and CBC Television, to headlining Broadway shows, and eventually getting his break in Hollywood at the helm of Gene Roddenberry's Star Trek series.
En 1969, Pasolini voyage à travers la Tanzanie et l’Ouganda à la recherche des décors et des personnages de son prochain film : une adaptation de L'Orestie" d’Eschyle dans l’Afrique contemporaine. Il commente à voix haute, interroge les visages, les paysages, les situations et lit de larges et significatifs passages d’Eschyle.
Il confronte ses idées, ses notes de voyage avec un groupe d’étudiants africains installés à l’université de Rome. Le film ne verra jamais le jour, mais ces notes filmées (et montées) par le cinéaste offrent une médiation sur l’indépendance, les promesses de la démocratie et le passage de l’âge archaïque à la civilisation moderne.
Considéré comme le film le plus rentable de tous les temps, Gorge profonde fut bien plus qu'une curiosité pour adultes et une réussite financière. Sorti en 1972, au moment où les Etats-Unis découvraient les mouvements pour la libération sexuelle et les valeurs de la contre-culture, ce film au contenu sexuellement explicite déclencha une tempête sociale et politique sans précédent.
Gorge profonde devint un phénomène culturel majeur, dont l'impact se ressent encore aujourd'hui. Plus de trente ans après les scandales provoqués par ce classique du cinéma porno, le documentaire Inside Deep throat examine l'incroyable abîme entre les modestes intentions des créateurs du film et l'héritage qu'ils ont involontairement laissé.
Cent-quatorze spectateurs, essentiellement féminins, assistent à la projection de l'adaptation cinématographique d'un classique de la littérature perse du XII siècle. Ces spectateurs s'émeuvent de l'histoire d'amour qui se déroulent sous leurs yeux : le film n'apparaît dans la mise en abyme qu'à travers sa bande son et les réactions du public. Néanmoins, le réalisateur trompe le spectateur puisque les actrices n'assistent pas réellement à une représentation filmique.