Le film Fort du fou narre, non sans nostalgie pour la période coloniale, l'abandon - durant la guerre d'Indochine - de réfugiés tonkinois catholiques par une armée française impuissante.
À quelques jours de la fin de la guerre d'Indochine, un commando de treize parachutistes, avec à sa tête le lieutenant Brissac, est largué sur le village vietnamien de Quinh Quang où une infirmière — Catherine Fournier — est retenue prisonnière. Ils la délivrent et font retraite vers leur base — à vingt jours de marche de là — après avoir détruit le village et tué ses habitants. La nuit suivante, un des paras est abattu.
Au cours de la guerre d'Algérie, quatre hommes et deux femmes acceptent de convoyer pour le compte du Front de libération nationale algérien des camions à travers le désert.
Ce film documentaire est sorti à l’occasion du cinquantenaire des événements survenus au moment et après la manifestation pacifique des Algériens du 17 octobre 1961 à Paris durant la guerre d'Algérie, organisée par la Fédération de France du FLN en réaction à un couvre-feu institué par le préfet de police Maurice Papon pour les seuls Algériens favorables à l'indépendance de leur pays. La manifestation pacifique sera très sévèrement réprimée par les forces de l'ordre dont le nombre de victimes est estimé entre 80 et 200 morts. Les cadavres seront, pour certains, retrouvés flottant dans la Seine.
Boufarik, Algérie, en 1960. Salah et Boualem, deux garçons de vingt ans qui portent chemises à la mode et lunettes noires, s'intéressent plus au twist qu'au travail et à la guerre d'indépendance. Lorsque la guerre se termine, Boualem sait choisir le « bon côté », celui des profiteurs...
L'action du film se déroule dans les dernières années de l'Indochine française. La première partie suit les parcours d'une nonne et d'un militaire. Dans la seconde partie, un combattant Việt Minh prisonnier confie à un évadé un message d'amour pour sa jeune femme enceinte. Le message est transmis à un enfant qui l'inscrit sur un papier, transmet le papier à une Française qui rentre en France avec les maîtres de la femme du prisonnier. 25 ans passent avant que ce message, passé de main en main puis oublié, soit redécouvert à Paris, où la femme du prisonnier habite désormais. Leur fille revient alors au Vietnam, décidée à refaire l'itinéraire de ce papier dispersé au fil de l'histoire tragique de son pays.
Alors qu’il tente par tous les moyens de rester en dehors des bouleversements sanglants provoqués par la bataille d’Alger, Hassan, père de famille intègre et naïf, offre sans le savoir, l’hospitalité à un moudjahid activement recherché par l’armée française.
En 1962, Albert Narboni, épicier heureux de vivre en Algérie française, est contraint de partir en exil avec sa famille au moment de l'indépendance de l'Algérie.
À Alger, durant la guerre d'Algérie un des responsables du FLN est arrêté par l'armée qui emploie les méthodes les plus violentes pour faire parler les prisonniers. Le recours à la torture pose un cas de conscience à un officier français. Jouant sur le champ-contre-champ, entre le torturé et son tortionnaire, dans un huis clos étouffant.
En 1959, deux frères sont séparés par la guerre d'Algérie. Le frère aîné doit partir se battre, et raconte l'horreur au quotidien à son petit frère de 10 ans.
In 1962, René Vautier, together with some Algerian friends, organized an audiovisual formation center to encourage a "dialogue in images" between the two factions. A film was edited from that experience, but the French police partially destroyed it. The images that were saved represent an unprecedented historical document: They tell of the Algerian War and the history of the ALN (National Liberation Army), as well as showing life after the war and, particularly, the reconstruction of the cities and the countryside after the war of Independence.