Le film aborde, par des dizaines de vidéos YouTube amateurs compilées, la guerre civile syrienne. Il narre la destruction et les atrocités commises lors de la guerre, filmées par des téléphones mobiles et postées sur Internet, compilées avec des plans tournés par Wiam Bedirxan pendant le siège de Homs (2011-2014). Le montage a été réalisé en association avec Ossama Mohammed, en exil à Paris, et les deux réalisateurs expriment leurs impressions personnelles.
Filming Othello begins with Welles standing behind a moviola. He directly addresses the camera and announces: "This is to be a conversation, certainly not anything so formal as a lecture, and what we're going to talk about is Othello, Shakespeare's play and the film I made of it." Welles initially conducts a monologue where he recalls the events that lead up to the creation of Othello and some of the problems that plagued the production. As the film progresses, he switches to a conversation in a restaurant between himself and two of the film’s co-stars, Micheal MacLiammoir (who played Iago) and Hilton Edwards (who played Brabantio). The three men talk at length about the making of Othello. Welles then resumes his monologue from his position behind the moviola. He then runs footage on the moviola of a question and answer session he conducted during a 1977 screening of Othello in Boston. Welles concludes the film in his position as a monologuist, proclaiming: "There are too many regrets, there are too many things I wish I could have done over again. If it wasn't a memory, if it was a project for the future, talking about Othello would have been nothing but delight. After all, promises are more fun than explanations. In all my heart, I wish that I wasn't looking back on Othello, but looking forward to it. That Othello would be one hell of a picture. Goodnight.
Lars von Trier prétend que le court-métrage Det perfekte menneske de Jørgen Leth sorti en 1967 est son film préféré. Dans le but de lui rendre hommage, mais d'une manière perverse, à la fois manipulatrice et créatrice, il propose à l'auteur du film original, son compatriote Jørgen Leth, de détruire et de reconstruire autrement ce court-métrage. Il défie Leth d'en tourner cinq remakes. Pour chaque projet, il lui impose de nouvelles « obstructions », consignes, restrictions, interdictions plus ou moins arbitraires, l'obligeant à repenser l'histoire, l'esthétique et les personnages de son film. Il s'ensuit à chaque épreuve un feed back entre les deux hommes où Lars von Trier, dans une sorte de position de « directeur de conscience », à la limite de l'humiliation, semble prendre à cœur de déconstruire et détruire ce que Jørgen Leth a réalisé.
Cette nostalgique leçon d'histoire recèle les trésors cachés des plus grandes comédies musicales de la MGM ainsi que de nombreux autres extraits merveilleux mais moins célèbres, avec Esther Williams, Jimmy Durante, Eleanor Powell et même Clark Gable chantant et dansant. « Il était une fois Hollywood » est une véritable gourmandise pour cinéphiles et amateurs de comédies musicales.
Considéré comme le film le plus rentable de tous les temps, Gorge profonde fut bien plus qu'une curiosité pour adultes et une réussite financière. Sorti en 1972, au moment où les Etats-Unis découvraient les mouvements pour la libération sexuelle et les valeurs de la contre-culture, ce film au contenu sexuellement explicite déclencha une tempête sociale et politique sans précédent.
Gorge profonde devint un phénomène culturel majeur, dont l'impact se ressent encore aujourd'hui. Plus de trente ans après les scandales provoqués par ce classique du cinéma porno, le documentaire Inside Deep throat examine l'incroyable abîme entre les modestes intentions des créateurs du film et l'héritage qu'ils ont involontairement laissé.